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  1. La dernière semaine
  2. Non, ardenter convient beaucoup mieux ; intente suppose un effort plutôt intellectuel.
  3. Rebonjour pierre15, Vous m'avez demandé dans un message privé si l'on ne pouvait pas choisir intentius à la place de argenter mais comme je veux savoir ce que @jacques en pense j'écris votre question ici. Il est vrai que intentius est un adverbe signifiant "plus énergiquement" mais je ne sais pas si la traduction "vive intentius" est bonne. Alors qu'en pensez-vous jacques ?
  4. ardenter vivere = vivre avec passion https://www.prima-elementa.fr/Dico-a10.html#ardenter L'adverbe ardenter signifie : ardemment, vivement, avec passion S'il s'agit d'une exhortation il faut employer l'impératif au lieu de l'infinitif : Ardenter vive ! Vis avec passion ! Ou si l'exhortation s'adresse à plusieurs personnes : Ardenter vivite ! Vivez avec passion ! il y a aussi l'adverbe vehementer signifiant avec violence, impétuosité, emportement, passion. Mais je crois que ardenter est un meilleur choix pour la traduction de "intensément". https://www.prima-elementa.fr/Dico-v02.html#vehementer
  5. karlito

    traduction pour tatouage

    merci a vous cela n est pas facile effectivement merci pour votre aide
  6. Bonjour je voudrai me faire tatouer en latin la phrase suivante : vivre intensement. Quelqu'un pourrez me donner la traduction dans le bon ordre.merci
  7. Un grand merci pour vos remarques et corrections! J'ai mis à jour le document de travail sur cette épitaphe de Robers Li Rois sur Academia
  8. Et c'est un beau distique (élégiaque) : Vīrgĭnĭs / ēxĭmĭ/ē I fī/lī I sāl/vārĕ mĕ/mēntō qvēm tĭbĭ / prēsēn/tō II mātrĭs ă/mōrĕ pĭ/ē
  9. Oui, en effet, pie = piae, tout comme eximie =eximiae. Depuis fort longtemps, la diphtongue ae s'est réduite. La mère dont il est question à la fin est évidemment la Vierge. Il s'agit de recommander l'âme d'un défunt à Dieu. Je propose : Fils de la Vierge sans pareille, souviens-toi de sauver celui que je te présente dans l'amour de ta pieuse Mère.
  10. Bonjour Michel, J'ai trouvé le distique ici https://books.google.fr/books?id=vCwYAAAAYAAJ&pg=PA390&lpg=PA390&dq="salvare+memento"+quem+tibi&source=bl&ots=2HHSn_D2Mm&sig=ACfU3U3HTZ9XvbIQcsXDWLW0JRmSs_ibTg&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwivlLTXv-eFAxXxi8MKHaBcAJcQ6AF6BAgKEAM#v=onepage&q="salvare memento" quem tibi&f=false Votre traduction est bonne à mon avis parce que je ne sais pas comment préciser que c'est la mère qui est pieuse (pi[a]e) et pas l'amour (pio à l'ablaif)). Peut-être "avec l'amour d'une mère pieuse". Mais il vaut mieux attendre l'avis de jacques ou de Bill.
  11. Bonjour Je suis intriqué par cette sentence VIRGĪS EXIMIE FILI SALVARE MEMĒTO QUĒ TIBI PÑTO MATRIS AMORE PIE ... qui doit se déplier en "Virginis eximie fili, salvare memento quem tibi presento, matris amore pie" Et que je traduirais en "Souviens-toi, ô fils exceptionnel de la Vierge, de sauver celui que je te présente avec l'amour pieux d'une mère" Etes-vous d'accord? Merci d'avance Michel
  12. Avant
  13. Cloelia

    traduction pour tatouage

    Mais le plus grand problème est la traduction de "sans" + l'infinitif "poser" parce qu'on n'utilise jamais la préposition "sine" suivie d'un infinitif. Voici les règles qui vous montrent que le "sans" de votre phrase est impossible à traduire. https://www.arretetonchar.fr/wp-content/uploads/2013/IMG/archives/langue/Grammaire/Theme/Theme - Latin - Sans + infinitif.pdf Je comprends que vous ne pouviez pas savoir que votre phrase était difficile à traduire mais c'est quand même comme ça. Si je mets "tes mains" à l'ablatif je peux au moins traduire "je t'ai aimé car tu as su me toucher sans tes mains" : Amavi te quia scivisti me tangere sine manibus tuis.
  14. Cloelia

    traduction pour tatouage

    Oui bien sûr. C'est normal. Mais il faut oublier la traduction fausse du traducteur. Le problème est le verbe latin tango, tangere qui signifie "toucher". toucher = émouvoir et toucher physiquement se dit de la même manière en latin, c'est-à-dire tangere, par exemple aliquem tangere : porter la main sur qqn. Noli me tangere. Ne me touche pas ! Vota tamen tetigere deos, Virgile En, 4, 164. Sa prière cependant émut les dieux. Si tangunt tristia fata deas, Ovide. Si les déesses sont sensibles à notre triste destinée. https://la.wiktionary.org/wiki/tango https://fr.wiktionary.org/wiki/tango
  15. karlito

    traduction pour tatouage

    voici se que me propose le traducteur cela vous semble t il correcte ??? amavi te quia scibas me tangere quin etiam manus tuas in me
  16. karlito

    traduction pour tatouage

    je vous remercie beaucoup il est vrais que la phrase en français est jolie mais le but est de rendre difficile la traduction pour les autres personnes ( je sais cela peut paraître bizarre
  17. jacques

    traduction pour tatouage

    Je trouve que la phrase sera bien plus belle si elle reste en français ! Et comment rendre le jeu de mots sur "toucher" ?
  18. Cloelia

    traduction pour tatouage

    D'accord mais pourriez-vous traduire la deuxieme phrase « (je t'ai aimé car tu as su me toucher sans même poser tes mains sur moi) » ?
  19. jacques

    traduction pour tatouage

    si malum acciderit, plutôt (futur antérieur).
  20. Cloelia

    traduction pour tatouage

    et si malum accidit, reddes animam pro anima, oculum pro oculo, dentem pro dente
  21. bonjour j aimerais traduire quelque phrase en latin mais je ne suis pas certain des traduction une âme charitable pourrait elle m aider merci voici se que je voudrais traduire (et s il arrive malheur, tu donneras vie pour vie,œil pour œil,dent pour dent) (je t ai aimé car tu as su me toucher sans meme poser tes mains sur moi ) je vous remercie d avance
  22. Oui, la différence s'efface dans votre exemple 1, mais il demeure grammaticalement une expansion. Mais quelle importance a cet étiquetage ?? J'ai mieux compris l'usage du subjonctif dans votre exemple 3. Il est bien justifié, et la relative a une valeur consécutive, qui ayant comme antécédent eum. Il faut donc traduire "il avait un centurion tel que celui-ci n'hésitait pas à obéir". C'est lourd, mais c'est le sens.
  23. Je comprends tout à fait votre remarque. D'autant plus que ces considérations ne sont que rarement un obstacle à la fabrication d'une traduction correcte, mais, pour ma part, il est question d'établir une "justification" syntaxique à la traduction d'un texte. Je me représente la différence entre une épithète détachée et qualificative, en français comme en latin, mais je crois qu'elle ne peut pas être les deux à la fois. Comme j'ai essayé de l'exposer, deux traductions, l'une complément de phrase et l'autre complément du nom, peuvent être appliquées à une seule et même tournure, cela de manière correcte. Dès lors, concernant lesdites épithètes, ma question est celle-ci : "Est-ce moi qui fais une erreur d'interprétation ou, en latin, la frontière entre expansion et complément de phrase serait-elle ténue, voire inexistante dans certains cas ?" Je remarque que j'ai en effet laissé une coquille dans l'exemple n°3, je joins ici l'extrait duquel je me suis inspiré pour l'établir : Habebatis eum centurionem qui parere non dubitaret. Cet extrait provient d'une grammaire qui qualifie ladite proposition relative comme épithète qualificative. Merci beaucoup pour votre réponse !
  24. Bonjour et bienvenue. Je vois mal le problème qui vous tracasse : le participe, aussi bien en français qu'en latin, a le double statut de verbe et d'adjectif ; il est donc normal qu'il soit tantôt une expansion, tantôt un complément de phrase, comme le montrent les transformations que vous évoquez. Vous vous posez ces questions à propos de la "version" ou du thème ? Dans l'exemple 3, soit le subjonctif me semble injustifié, soit la traduction ne convient pas.
  25. Bonjour à tous, Je suis dans une impasse. De fait, c'est pour cela que j'ai décidé de m'inscrire sur ce forum. Le titre est assez explicite, mais je pense qu'il est important d'apporter quelques précisions sur le problème dont il est question ! Traditionnellement, les grammaires latines font la distinction entre complément du nom et complément de phrase, ce qui est assez évident à première vue, mais, lorsqu'il s'agit de l'emploi du participe latin, tant au parfait qu'au présent, la clarté s'évapore. Une épithète détachée (ou apposé prédicatif) serait donc équivalente à un complément de phrase précisant la circonstance du procès signifié par le prédicat de la principale. Des rapports de causalité, de conséquence et d'opposition pourraient être déduits du contexte. Les grammaires précisent que ce complément se rapporte, la plupart du temps, au sujet et qu'il peut être composé d'un adjectif, d'un participe ou d'une proposition relative au subjonctif. Exemple n°1 : Aeneas, cum Ilion nave aduenisset, a Priamo receptus, vidit (se) erravisse Ici, "A priamo receptus" est une épithète détachée. On pourrait imaginer que c'est parce qu'il a été reçu par Priam qu'il vit son erreur. En fait, il s'agirait d'une forme d'équivalent syntaxique à la subordonnée en cum dit "historique" ou "causal". Exemple n°2 : Atticus dignitatem equestrem, a maioribus acceptam, obtinuit ; Atticus, cum a maioribus accepisset, dignitatem equestrem obtinuit. Ici, la nuance est plus ténue. Déjà, le participe ne se rapporte plus au sujet, mais au CDV de la proposition. On pourrait, sans trop conjecturer, émettre l'idée qu'il s'agit d'une épithète qualificative de dignitatem, répondant ainsi à la question "talis ?". Dès lors, on pourrait même traduire en nominalisant le groupe : Atticus maintint l'ancestral rang équestre. Cependant, absolument rien ne fait obstacle à l'interprétation qui considère la propriété circonstancielle de l'épithète détachée ; on remplace alors, par exemple, par une proposition en cum causal et on traduit : Atticus maintint le rang équestre puisqu'il l'avait reçu de ses ancêtres. Exemple n°3 : Habebatis eum centurionem, qui non dubitet ; Vous aviez ce centurion, qui ne doutait pas. Exemple n°4 : Rex, qui eum non nouisset, sine ulla suspicione dedit ; Le roi, qui ne le connaissait pas, donna sans aucun soupçon. [A comprendre : Le roi donna parce qu'il ne le connaissait pas] L' exemple n°3 serait une relative épithète qualificative de son antécédent, tandis que le n°4 serait une épithète détachée. Donc, le premier serait un complément du nom qui qualifierait son antécédent (centurionem) , tandis que le second serait un complément de phrase qui préciserait, ici, la circonstance causale du procès signifié par le prédicat de la principale (dedit). Cela dit, il est difficile de comprendre en quoi l'exemple n°4 ne serait pas une épithète qualificative, renseignant ainsi sur la nature de son antécédent : "Rex". Il est tout autant difficile de comprendre en quoi l'exemple n°3 ne pourrait être une épithète détachée, cela pourrait être le cas, je crois, dans un contexte littéraire élargi. En effet, si le contexte nous fait deviner que c'est parce que le centurion ne doutait pas que "vous l'aviez", il n'y a pas de raison pour que la relative ne soit que qualificative. Merci beaucoup si vous avez pris le temps de me lire, je prendrai tous les conseils, les avis et remarques avec plaisir. Razoumihine PS : les exemples ci-joints sont soit le fruit de mon imagination, soit modifiés depuis les textes de Cornélius Nepos et Cicéron.
  26. jacques

    Passé épistolaire

    Bien sûr, mais plutôt avec -ne : nesciebam tibine daretur ut mihi responderes.
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