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  1. Last week
  2. Vous avez aussi la solution qui consiste à utiliser des adjectifs substantivés au pluriel neutre : par exemple : lucida et obscura, = "(éléments) lumineux et (éléments) obscurs"= "lumière et obscurité", ou "candida et atra" = "(éléments) d'un blanc éclatant et (éléments d'un noir mat") = "blancheur (éclatante) et noirceur". Vous pouvez enfin panacher.. Mais lux et tenebrae, ce n'est pas mal. Je dis "éléments", mais tout nom abstrait convient en français.
  3. Je vous remercie pour votre réponse, je souhaite utiliser chaque mot tel quel sans 'es intégrer a une phrase. En fait je cherche un titre pour deux textes, l'un qui renvoie l'idée de lumière et l'autre en contraste, qui renvoie celle de noirceur. Existe-t-il d'autres termes antonymes sur cette thématique lumière/ombres ou les ai-je tous cités ? Encore merci pour votre réponse. Cdt
  4. Les mots que vous proposez conviennent, mais il faut savoir que lorsque vous dites lux, lucem ; tenebrae, tenebris ; nox, noctem, vous ne citez en fait que trois mots : lux, tenebrae et nox ; lucem, tenebris et noctem sont des formes déclinées des trois premières. Voulez-vous les avoir telles quelles ou pensez-vous les intégrer à une phrase ?
  5. Bonjour, je cherche la traduction de la notion de lumière ainsi que celle de la notion de noirceur (possiblement nuit, obscurité). J'ai vu que pour lumière on pouvait employer : lux, lucem. Et pour noirceur j'ai trouvé beaucoup de possibilités comme : tenebrae, tenebris, nox, noctem ... Quelles expressions sont les plus appropriées pour désigner les notions de lumière, lueur, et également de noirceur, obscurité, nuit (comprenez l'idée). Je vous remercie par avance pour vos réponses.
  6. C'est bien ce que je pensais ! Ce court ouvrage (76 pages), émanant d'universitaires titrés, est un plaidoyer qui m'a laissé sur ma faim quand à la manière dont pourrait se concevoir concrètement l'apprentissage du latin pour tous. Car l'objectif est ambitieux : le latin ne doit pas être une option, mais en enseignement obligatoire. Le latin n'étant la langue maternelle de personne, il s'adresse à tous également : à l'individu comme au futur citoyen. C'est en effet le vecteur principal de l'Humanisme depuis l'Antiquité, mais aussi de nos institutions républicaines et du "vivre ensemble". C'est la langue de la République. Cette langue vit au travers de textes qu'il faudrait faire lire, des classiques à Érasme, voire aux compositions latines de Rimbaud. Elle vit aussi bien sûr dans notre langue, dont certains mots à la connotation double, comme "passion", n'auraient plus de secret. La langue sortirait ainsi de son cadre purement pratique pour revêtir l'épaisseur du vivant. Qui n'acquiescerait ? Mais comment assurer l'apprentissage de la langue ? Comment arriver à faire lire le latin ? Mystère : rien sur le sujet. Il est question deux ou trois fois de "traduction"... Mais au rythme où les choses se passent dans la réalité des classes, que nos auteurs n'évoquent pas, il faudrait un millénaire pour réaliser leur programme... C'est presque à chaque page que j'ai éprouvé une déconvenue en constatant que le problème didactique n'était jamais abordé. Je pense que la méthode à laquelle songent les auteurs est plus ou moins traditionnelle... Mais alors ? Par là, ce plaidoyer pour le latin rejoint beaucoup d'autres, bien écrits, mais superficiels et banals : citations multiples, presque à chaque page, mots et expressions latines dans le texte, témoignages de personnalités comme Barthes, Jankélévitch, Bonnefoy, de Romilly... A qui est-il adressé ? Aux décideurs : mais lequel se lancera dans une entreprise coûteuse, et dont la rentabilité est extrêmement problématique, au moment où l'on manque de profs et de crédits ??? A nous, enseignants, grand public : mais on n'en peut mais ! En définitive, l'impression générale que me laisse ce livre est celle d'un bon devoir de potache, d'une utopie, d'un rêve de philosophes (comme Sallenave) et de sociologues, bref, d'intellectuels. Ce qui me dérange aussi, c'est le fait que les auteurs ne s'affichent certes pas élitistes tout en l'étant sans en avoir conscience, comme cela arrive presque toujours. Murem peperit mons !
  7. Earlier
  8. Un nouveau livre sur le latin est paru chez Fayard : il s’agit de Du latin à l’école !, de Thibaut Sallenave, Luigi-Alberto Sanchi et Cécilia Suzzoni. L’introduction de l’ouvrage est reproduite dans Fabula. Je l’ai lue. Après un constat plutôt juste de la baisse du niveau et des compétences en français, et de la faillite de l’école à combler les inégalités, les auteurs nous annoncent que tout n’est pas perdu : il suffit en effet de mettre le latin au centre de la formation scolaire, en évitant les travers élitistes de l’ancien temps, en rendant au contraire son enseignement obligatoire afin d’en faire la base d’une formation qui assurera au futur citoyen une pleine intégration au monde moderne. Je vais bien sûr l’acheter pour en savoir plus – telle est la vertu de cette forme de publicité – mais je ne vous cache pas qu’a priori, ce projet me semble d’une inconséquence totale.
  9. jacques

    Traduction

    Que proposez-vous ?
  10. Courki

    Traduction

    Possible de traduire « on récolte ce que l’on sème » merci beaucoup
  11. Alice7

    Étymologie

    Merci beaucoup !
  12. jacques

    Étymologie

    Aucun rapport. Ce suffixe est hérité du latin -atus ou -atum. Ex : consulatus > consulat.
  13. Alice7

    Étymologie

    Merci beaucoup ! Non, non, je n'étudie pas Rimbaud , je corrige un texte où l'auteur écrit que le mot hydrolat vient du grec « hydro » qui signifie eau et du français « lat » qui signifie lait. En effet, la substance obtenue juste au sortir de l’alambic présente un aspect laiteux. La deuxième partie de l'affirmation me semble fausse, pensez-vous que le suffixe "lat" ait un rapport avec le lait ? Merci de vos lumières !
  14. jacques

    Étymologie

    Je vois que vous étudiez Rimbaud ! C'est un mot savant formé sur hydr-, racine grecque de l'eau, avec le suffixe -lat tiré de alcoolat. Ce suffixe signifie que le liquide en question porte des éléments végétaux ou autres en dissolution, comme les parfums. Dans le poème de Rimbaud, l'hydrolat lacrymal désigne tout simplement la pluie, mais je ne vous conseille pas de réduire à cela l'explication de l'expression !
  15. Alice7

    Étymologie

    Bonjour, Je cherche l'étymologie du mot "hydrolat", qui me semble formé sur le même modèle qu'alcoolat ou distillat. Ma question ne porte pas sur la racine grecque "hydro", mais sur le suffixe -at ou -lat : est-ce -lat ou -at ? quels sens et origine peut-on lui donner ? Merci beaucoup de votre aide, Alice
  16. Cadre : cartulaire de Saint Jean d'Angély vers 1085 : dons de divers biens prés du bourg de fossemagne. " crementum vinae quae est post burgum Fulcae Magnae, simul etiam Mansionem malae noctis in ruppelleto. Hii omnes fuerunt Ramnulfus Monachus, Robertus Monachus, Raimundus monachus" Je suis sur la trace d'un hospice ( lié entre autre aux lèpreux) tenu par des moines en ce lieu mes modestes connaissances me portent à croire qu'il est mentionné dans ce texte. Pouvez vous confirmer cette hypothése ?
  17. Bonjour à tous Pour un projet tatouage, je cherche la traduction la plus exacte possible de la phrase suivante : jusqu'à ce que la lumière dissipe les ténèbres Comme toute personne qui a suivi son dernier cours de latin il y a 20 ans, et a donc tout oublié, je me suis dirigé vers.... la traduction automatique, qui me donne : usque ad lucem tenebrae repurgat Repurgat me semble étrange, le sens étant plutôt nettoyer que dissiper de mémoire... Bref, un coup de main de gens plus au point serait d'une aide précieuse ! Merci d'avance !
  18. Bonjour, N'ayant pas de réponse, je précise un peu ma demande. N'étant pas latiniste je pourrais tenter de transcrire quelques passages mais il y a trop d'abréviations surtout dans le deuxième texte. Toute aide me sera utile. Je joins deux images plus précises des textes. Excusez mon insistance Domino
  19. Bonjour, Je sollicite votre aide pour la traduction de la phrase suivante : la main de Dieu frappera tôt ou tard. Ou bien : la main de Dieu fera justice tôt ou tard. Cette variante reflète également l'idée de la première. Merci par avance
  20. Merci beaucoup, C'est un terme fréquemment utilisé pour désigner le furet ou la belette? Dominique
  21. Oui, le texte est un des nombreux bestiaires médiévaux donnant matière à une symbolique religieuse. Il s'agit bien ici du furet ou de la belette.
  22. Merci de m'avoir accordé un peu de votre temps. J'avais trouvé à peu près cela; pourtant le texte qui contient cette expression," furunculus animal"évoque de façon certaine un animal. Le Concordantia Caritatis est non seulement un texte typologique mettant en relation l'ancien et le nouveau testament mais, ce qui fait son originalité, c'est de mettre aussi les péricopes du NT avec leurs préfigurations naturelles (animaux, plantes). Sur ce folio les deux animaux sont ce "furunculus" et la taupe. Voici les deux légendes des images des animaux: Hoc animal mite cum furit, dat mala vite. Talpa redire nequit, antrum quia querere nescit. Je joins la capture de ce bas de folio. J'aimerais donc savoir si ce terme de "furunculus animal" est courant et si on peut le traduire par "furet"
  23. Bonjour Domimare, Un animal en latin signifie aussi un être vivant, c'est-à-dire un homme https://www.prima-elementa.fr/Dico-a08.html#animal furunculus est un diminutif de fur (voleur) signifiant "le petit voleur" Voir https://www.prima-elementa.fr/Dico-f06.html#fur https://www.lexilogos.com/latin/gaffiot.php?q=furunculus https://www.dictionnaire-medical.net/term/37325,1,xhtml Désolée mais je n'ai pas le temps de m'approfondir dans ce sujet parce que j'ai trop à faire maintenant. Cordialement, Cloelia
  24. Sur un folio du Concordantiae Caritatis je trouve mention d'un animal étrange " furunculus animal". Il y a même une image. Un érudit allemand a traduit cela par "belette". Je crois que "furet" pourrait convenir. Je n'ai rien trouvé dans le Du Cange ou le gaffiot, si ce n'est "furoncle" (laissons tomber) et "petit larron", cad "petit voleur" qui semble être l'étymologie de "furet". Mais je ne suis pas sûr. J'espère ^ùetre éclairé par un expert voici le texte:"Rerum liber dicit, / quod furunculus animal paruum sa/tis mite, cum uero irascitur, omnia ani/malia fugiunt. Furunculus est /45Christus, qui est animal, id est homo satis, ymo / summe mite, quia eius misericordia si inuo/catur,nulli omnino subtrahitur aut ne/gatur. Si uero nostris peccatis exigentibus idem / animal irasci nobis ceperit, quid nisi fugi/endum esse quis nescit, id est nos debere ma/la opera deserere et deuotam conuersaci/onem50apprehendere et tenere, ut / sic senciat iam placatum, quem / prius sibi nouerat terribilem et ira/tum?" / Merci et bonne soirée Dominique
  25. Bonjour à tous, Si quelqu'un parmi vous a la patience de transcrire (et éventuellement de traduire) ces deux images de la bible moralisée de Tolède cela me serait très utile. Il s'agit d'une interprétation de la péricope de l'expulsion des marchands du temple qui s'en sert pour condamner le clergé simoniaque Par avance un grand merci Dominique https://we.tl/t-xUOa5Tyavy
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