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quo = adverbe relatif de lieu (avec mouvement ) = où
Asiam : ne peut être COd de adfirmabant. Cela n'aurait pas de sens. En revanche, après un verbe de déclaration, on trouve souvent une proposition infinitive.
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Petit complément : Comme il s'agit d'un choral chanté par des anabaptiste, on peut supposer que "ad salutarem undam" fait allusion à "l'eau salutaire" du baptême. Pour un anabaptiste, on est sauvé si on est baptisé adulte. Ils rebaptisent donc ceux qui ont été baptisés enfants.
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Pas mal !
Quam = combien
est il est
elato animo = d'un esprit élevé, noble. C'est l'ablatif de qualité. On traduit souvent, dans ce cas, en français par le verbe avoir : comme il a un esprit élevé !
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Après consultation, ce choral semble être une composition originale de Meyerbeer. Pour trouver les sources du texte, il faudrait que vous nous le communiquiez en entier. Il s'agit d'un choral chanté par trois anabaptistes dont Berlioz lui-même soulignait le caractère impressionnant.
Je continue les recherches. J'ai peut-être le Prophète dans mes partitions...
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Tout à fait d'accord, Aegidius, et c'est bien sur le sens du "vous" français que je m'interrogeais. Une petite remarque, cependant, à propos de : γνῶθι σεαυτόν : Cette maxime relève plutôt, à mon avis, des adages du style "Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras" mais on trouve autant d'exemples contraires... Quant au "tutoiement" français, il a connu et connait bien des vicissitudes et est soumis aux évolutions de la langue. En particulier, les journalistes et beaucoup de personnes autres emploient le "tu" dans un emploi où on utilisait jadis le "on"...
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Petit doute : le "vous" ne se traduirait-il pas en latin par un "tu" ? J'hésite...
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Oui, Euphoria, c'est tout à fait ça.
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Oui, c'est beaucoup mieux. Pour la fin : le sujet de conciliaverunt est "mulieres". conciliaverunt n'est pas un passif et n'a pas pour sujet pacem.
Donc, traduis "et elles + verbe actif au parfait + complément d'objet (pacem)".
Bon courage !
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Déjà les Sabins criaient : « Vainquons les hôtes perfides, lâches ennemis ! » [...] Alors les armes de Romulus soulevant vers le ciel le temple de Jove, il promet par un voeu et une armée s'arrête. [je sais, ça ne veut rien dire, il doit y avoir un problème quelque part^^]
C'est pourquoi la bataille s'est recommencée; mais les femmes enlevées osèrent....
[ gros trou que j'arrive pas à traduire, j'ai compris qu'elles s'interposent entre les javelots ou quelque chose comme ça je crois.. ] et la paix s'est procurée.
"mais les femmes osèrent se jeter entre les javelots volants et la paix se procure" ?
mais il y a toujours ce passage que je n'arrive pas à traduire : Tunc Romulus arma ad caelum tollens Jovi aedem vovit
Jam Sabini clamitabant : "Vicimus perfidos hospites, imbelles hostes !" [...] Tunc Romulus arma ad caelum tollens Jovi aedem vovit, et exercitus restitit. Proelium itaque redintegratur; sed raptae mulieres ausae sunt* se inter tela volantia inferre, et pacem conciliaverunt.
Déjà, les Sabins criaient :
vicimus est un parfait (traduis par un passé composé). Et ce n’est pas un impératif. C’est une première personne du pluriel du parfait.
Tunc = Alors
Romulus = nominatif = Romulus
tollens = participe présent, nominatif, se rapporte à Romulus = levant
arma = ses armes (accusatif pluriel neutre COD de tollens).
ad caelum = vers le ciel
vovit = promit par un vœu (tu as toi-même trouvé le sens)
aedem = COD de vovit = il promit quoi ?
Jovi = à qui ? (datif).
et exercitus restitit : deux sens possibles. et l’armée s’arrête (cesse de fuir) = restiti : parfait de resistere
Ou : et l’armée résiste : restiti peut aussi être le parfait de restare.
Les femmes qui avaient été enlevées osèrent + infinitif : se inferre = s’interposer
inter tela volantia = entre les javelots qui volaient (volantia)
conciliaverunt a pour sujet « mulieres
pacem = accusatif COD de conciliaverunt.
Dommage que ce soit pour demain… On aurait pu faire un travail plus sérieux. Surveille bien tes messages !
Bon courage
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Désolé : il est trop tard ce soir, mais je te réponds demain sans faute !
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Bonjour, Euphoria,
C'est très bien de t'y prendre à l'avance. On va donc d'abord t'aider pour les mots que tu n'as pas trouvés :
vicimus : du verbe vinco vincere = vaincre
hospites : hospes,itis : hôte Oui
imbelles : imbelis,e : inapte à la guerre, lâche
tunc : alors
caelum : ciel
tollens : tollo,is,ere,sustuli, sublatum : soulever, enlever, pousser
aedem : aedes,is : temple Oui.
exercitus : mot à savoir par coeur : exercitus -us (4° déclinaison) = une armée
restitit : (du verbe resistere)
Proelium : bataille, combat
itaque : c'est pourquoi
redintegratur : redintegro, as, are : recommencer
sed : mais
raptae : rapio, is, ere, rapui, raptum : saisir vivement, enlever : ici, enlever.
mulieres : femmes
ausae : du verbe audeo -es -ere.
volantia : voler
inferre : infero, fers, ferre : jeter dans "se inferre" = se jeter
pacem : pax - pacis = paix Proverbe : si vis pacem, para bellum = si tu veux la paix, prépare la guerre.
conciliaverunt : ménager, procurer
Voici un premier coup de main. Et maintenant, nous attendons la suite de ton brouillon !
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Désolé, Clara, mais tu t'y prends un peu tard. Et surtout, il aurait fallu joindre un début de brouillon : on ne peut faire les devoirs à ta place mais on est l'à pour t'aider à les faire... J'espère qu'on pourra vraiment t'aider la prochaine fois !
A bientôt !
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Je m'aperçois que ma réponse est partielle :
Ailleurs qu'à l'école :
-dans les choeurs grégoriens et les célébrations catholiques en latin : on utilise la prononciation dite "romaine", c'est à dire celle utilisée et codifiée par le Vatican à la fin du XIX° siècle. C'est la prononciation dite "ecclésiastique".
- dans le chant baroque en latin de pièces françaises, on utilise normalement la prononciation "à la française", qui a été utilisée à l'université (et au lycée) jusque dans les années 50 (1950), que j'ai pratiquée moi-même au Lycée, et qui se trouve à la page 2 de Cayrou, en haut de la page. Cette prononciation devrait être utilisée également pour les chants religieux jusqu'à la fin du XIX° siècle. Elle est encore attestée dans des enregistrements du début du XX° siècle. C'est également celle que doivent utiliser les lecteurs d'Astérix pour comprendre les jeux de mots...
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La prononciation officielle scolaire et universitaire est la prononciation dite "restituée". Les règles scolaires de cette prononciation se trouvent dans la grammaire du site (Cayrou) page2, tableau du bas de la page.
Remarquons que cette prononciation est une "restitution" et une photographie de la prononciation du latin autour du 2° siècle avant JC. La prononciation d'une langue évolue constamment, et cela quelle que soit la langue. La prononciation du français aujourd'hui n'est plus celle de mon enfance... Et pourtant, je n'ai pas quitté Paris ou ses environs !
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Je pense que vous avez raison pour "la hâche tomba" --> "la hâche est clairement sujet: "securis". Pour "pereant" ou "pereunt", à mon avis, les deux sont possibles: ou bien, c'est un constat, un fait avéré: "pereunt", ou bien c'est une sorte de "souhait prophètique" : "pereant" (le "que" n'est pas obligatoire en français, dans ce cas ("[que] vive la France!", "[que] viennent les beaux jours!")........essayez de sentir l'interprétation que préfèrera votre professeur
Pour "Deus meus, speravi in te", je mettrais plutôt : "Domine, in te speravi", qui est une citation de psaume.
Et pour la suite, elle a dû tout simplement dire le répons bref de Complies : "In manus tuas, Domine, commendo spiritum meum". N'est-il pas ? (comme disent nos amis anglais...)
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A tu trouvé la traduction ? Pourrais tu me la dire car je dois la traduire et je ne sais pas si c'est bon ! -.-
J'attends simplement que l'un de vous deux ( mylifeemii ou Shimoko) mette ses essais sur le site, et je vous aiderai !
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Salut tout le monde !
Je dois pour demain traduire cette phrase en latin, mais je ne dispose pas de dictionnaire français vers latin donc je suis un peu bloquée ...
" Les élèves à leur grand professeur" grand peu être remplacé par tout mot synonyme (brillant ...) ainsi que professeur (maître ...).
Cette phrase doit être sous la forme d'une formule d'appel, c'est à dire "les élèves" au nominatif et "leur grand professeur" au datif, le tout suivi des mots : salutem dat.
Des propositions ???
Discipuli reverendissimo magistro SD (salutem dant = ne pas oublier de mettre "dat" au pluriel.
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Excuse moi j'ai aussi une autre phrase :
Trimalcio fortis fuit, at Fortunata etiam fortior fuit quam Trimalcio
et s'il te plait tu peux juste me faire la première pour que je comprenne.
Bonjour, Shimoko,
Voici d'abord quelques lignes sur Trimalcion tirées de Wiki : Esclave affranchi héritier d'un maître richissime, son festin pantagruélique est un prétexte pour impressionner ses invités en étalant ses richesses et sa suffisance. Adepte des discours creux, il ne manque pas une occasion de citer quelques vers connus ou de faire réciter par ses serviteurs ce qu’il pense être l’apanage culturel d’un homme libre cultivé.
Trimalcion est donc un ancien esclave.
Pour ta nouvelle phrase : Fortunata est un nom propre. C'est l'épouse de Trimalcion.
Ta phrase oppose un "positif" fortis = courageux à un comparatif "fortior" = plus courageux.
quam = que : introduit le complément du comparatif.
Traduis-moi au moins les 4 premiers mot : il suffit de les prendre dans l'ordre où je te les indique :
Trimalcio fecit novas naves. Après je t'aiderai.
Courage ! Et sinon dis-moi pourquoi tu n'arrives pas à traduire ces quatre mots.
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Petite aide complémentaire pour t'aider à démarer :
Trimalcio = sujet
fecit = verbe de la principale
novas naves = COD
quae ampliores et meliores erant = proposition subordonnée relative complément de l'antécédent "novas naves".
Et maintenant, à toi !
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Pouvez-vous m'aidez à traduire cela ?
Trimalcio novas naves quae ampliores et meliores erant fecit ; nautae peritiores et feliciores quoque fuerunt.
et
Itaque Trimalcio majorem fortunam nunc habet quam dominus.
Mon Analyse :
nouo, as, are : renouveler, refaire; inventer; changer, innover
nouus, a, um : nouveau
nauis, is, f. : navire
nauo, as, are : faire avec soin, avec zèle
qui, quae, quod : qui ; interr. quel ? lequel ?
amplus, a, um : grand, important
et, conj. : et. adv. aussi
melior, oris : comp. de bonus : meilleur
facio, is, ere, feci, factum : faire
nauta, ae, m. : marin
peritus, a, um : expert, savant, connaisseur
et, conj. : et. adv. aussi
feliciores : ?
quisque, quaeque, quidque : chaque, chacun, chaque chose
quoque, adv. : aussi
sum, es, esse, fui : être
Novas = adjectif, se rapporte à naves
qui quae quod = relatif
feliciores = comparatif de felix, felicis
Ta leçon porte manifestement sur les comparatifs et leur complément. Commence à traduire et à construire : tes fautes d'analyses sont en rapport avec l'absence de toute construction.
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Oui, "in eo" est embêtant avec son ablatif, mais le "in" au sens de "cum", comme dans "in hoc signo vinces" me semble encore moins plausible... Peut-être "in" au sens de "dans le cas de" "en ce qui concerne" ?
Pour quamvis, pourquoi pas ? Quant au point, il ne me gêne pas tellement. "Leniendam" entame la dernière phrase de la citation du rescrit...
Et pourquoi pas : percusserit, in eo indubitate occidendi animo = l'a frappé dans l'intention incontestable de tuer ? (sens assez classique pour "in animo") Bien sûr, on ne tient pas compte de la virgule... mais la virgule n'est pas de l'auteur, mais de l'éditeur...
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Pour préciser la réponse de Raoul : ne crains pas de nous donner un brouillon même très imparfait. On est vraiment là pour t'aider !
Repère bien les cas. Construit sujet, verbe complément.
Apparere commande une double proposition infinitive avec un balancement "non solum" "sed etiam" (non seulement... mais aussi...).
Ne te laisse pas impressionner par la place des sujets... Putabat commande aussi une proposition infinitive.
Courage, Nathalie, on ne te laissera pas tomber, mais il y faut ta participation !
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Ils ont un drôle d'accent, dans le Minnesota !
Que dire ? En attendant qu'on ai retrouvé quelques enregistrements dans un pilier de Pompéi ou d'Herculanum, pourquoi pas ? Mais on peut douter...
analyse de mots
in Je suis étudiant
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cupido = cupidus -a -um
cupido se rapporte à animo et a pour complément "sortis ejus explendae" : il s'agit dune forme d'adjectif verbal mise pour un gérondif.
Quant à quo, je persiste et je signe.
Construction : aspexit vehiculum (COD) quo = où Gordius sujet vectus erat verbe. Est-ce plus clair ainsi ?