Bonjour!
Tout d'abord je vous remercie grandement pour votre aide, sans laquelle je n'aurais pas pu mettre un pied à l'étrier et pour vos contribution. Tout en m'excusant de mon absence due à mon année universitaire et à un déménagement assez long.
Me voici de nouveau parmi vous face aux défis qui me résistent encore.
La bonne nouvelle étant que j'ai pu traduire 50% du concile, mais que certains passages bloquent et que mon mémoire est à rendre pour fin Août.
J'apprécierai que des personnes plus expérimentées que moi puissent m'éclairer sur des passages difficiles, qui échappent à mon niveau.
Dans ce chapitre, il est question de l'allocation-salaire attribuée aux moniales.
Voici le début que j'ai pu traduire.
Que dans tous les monastères de jeunes filles, dans lesquels on vit canoniquement, les moniales reçoivent chacune trois livres de pains par jour, et dans ces régions qui produisent du vin, trois livres de vin si la stérilité de saison ne l'empêche pas, mais si la même région n'est pas pleinement fertile de vin, deux livres de vins et deux de cervoise, et si elle est peu fertile de vin, trois livres de cervoise, et si la possibilité le permet, une livre de vin. Dans les endroits plus humbles ), qu'elles reçoivent deux livres de vin et, si la même région, qui est mentionnée précédemment (ut praemissum est), n'est pas fertile de vin, deux livres
de cervoise, et si la possibilité le permet, une livre de vin.
Après s'ensuit un passage que je n'arrive pas à traduire, malgré mes efforts. La syntaxe m'échappe.
Je vois bien que cela parle une nouvelle fois des particualités des régions et des lieux.