BLACKSTONE Posted June 27, 2012 Report Share Posted June 27, 2012 Je ne vous oublie pas, mais suis un peu débordé ces jours-ci... Pour votre début, j'ai sensiblement la même chose. Une seule question : les "prélats". Outre que praelatarum ne me parait pas avoir ce sens, il est de plus au féminin. Il s'agirait plutôt des "supérieures", ce qui se conçoit bien pour des communautés religieuses. Je suis allé un peu plus loin et je vous tiens au courant. Peut-être Raoul, s'il est là, pourra-t-il nous donner son point de vue ? Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Messalina Posted June 27, 2012 Author Report Share Posted June 27, 2012 Oh ne vous inquiétez pas! J'avance un peu de mon côté, tout en vous soumettant mes trouvailles. Pour le praelata, effectivement le Niermeyer me donne supérieure comme traduction! Mais je vous en prie, prenez votre temps. Et merci pour cette réponse. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
raoul Posted June 29, 2012 Report Share Posted June 29, 2012 Citation Licet enim in nonnullis provinciis copia desit vini, abundat tamen sancta Dei eclesia Domino adtribuente aliarum rerum copiis, e quibus industria praelatarum ex aliis provinciis vinum adpisci sibique subditis iuxta facultatem pocula conferre possunt. In locis igitur, ubi permodice sunt res eclesiae aut forte quorundam abstractu valde adtenuate, tot talesque admittantur, quibus saltim praemissa minor mensura potus sine diffcultate dari possit. In his itaque locis, ubi forte nonnullae praelatae piarum praelatarum imitantes exemplum magis subditis dare solite sunt nullatenus bonum, quod faciiunt, omittant. Voici ce que je crois comprendre de ce passage: "Il se peut que dans certaines provinces il n'y ait pas beaucoup de vin; cependant la sainte Eglise de Dieu regorge d'autres biens à partir desquels les abbesses peuvent négocier la fourniture de vin provenant d'autres provinces et en offrir des coupes à leurs moniales selon ce qu'il leur est possible. Donc, dans les endroits où les ressources de l'église sont très modiques ou fortement diminuées par la confiscation qu'en font certaines personnes, que soient envoyés des biens en quantité et qualité suffisantes pour qu'au moins une petite ration de boisson puisse être servie sans difficulté. Aussi, dans les endroits où, à l'exemple des pieuses abbesses, les supérieures ont coutume de donner davantage à leurs moniales, qu'elles ne renoncent en rien au bien qu'elles font" Je ne suis pas sûr à cent pour cent de ma traduction mais cela peut vous aider ; peut-être notre ami Blackstone voit-il les choses un peu autrement... Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Messalina Posted June 29, 2012 Author Report Share Posted June 29, 2012 Merci beaucoup Raoul, votre traduction m'est d'une précieuse aide. En revanche le terme négocier est-il apparenté à "industria"? Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
raoul Posted June 29, 2012 Report Share Posted June 29, 2012 Merci beaucoup Raoul, votre traduction m'est d'une précieuse aide. En revanche le terme négocier est-il apparenté à "industria"? Oui, j'ai mis "négocier" pour industria parce que j'ai pensé que le "travail" de ces supérieures consistait essentiellement en un échange de biens divers contre le vin dont elles manquaient, mais peut-être peut-on trouver un terme qui rende mieux le sens... Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Messalina Posted June 29, 2012 Author Report Share Posted June 29, 2012 J'avais suivi la traduction du Gaffiot qui est "activité", mais cela revient au même et mettre négocier donne davantage de sens à la tâche des abbesses. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
BLACKSTONE Posted June 30, 2012 Report Share Posted June 30, 2012 Merci, Raoul, d'avoir pris le relais : je suis un peu débordé en ce moment. Le mot "industrie" est très difficile à traduire en français moderne car il a dans ce texte le sens qu'il a au XVII° et XVIII° siècle français, qui est bien celui de se livrer à une activité comportant de nombreux aspects et bien sûr celui du "négoce". Ajoutons qu'en français il avait aussi pris parfois un sens un peu péjoratif : se servir de tous les moyens pour obtenir... J'avais téléchargé au début de nos échanges un texte latin plus complet du même passage qui va tout à fait dans ce sens : Licet enim in nonnullis provinciis copia desit vini, satagendum est tamen praelatis ut ex circumjacentibus viniferis provinciis vinum habeant. Quoniam quanquam in plerisque regionibus vineae non sint, abundat tamen sancta Dei Ecclesia, Domino attribuente, aliarum rerum copiis, e quibus industria praelatorum ex aliis provinciis vinum adipisci sibique subditis, juxta facultatem pocula conferre possunt. In locis igitur ubi permodicae sunt res ecclesiae, aut forte quorumdam abstractu valde attenuatae, pauci numero, magni tamen constituantur, officio, quibus saltem praemissa minor mensura sine difficultate dari possit. Diebus vero festis, sicut moris est Ecclesiae, juxta quod melius praelati possunt, fratribus [0918C] cibum potumque ministrent. Même si je ne peux pas intervenir souvent, je ne vous abandonne pas ! Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Messalina Posted July 1, 2012 Author Report Share Posted July 1, 2012 Merci beaucoup pour ces éclaircissements! Dans ce même chapitre, une autre partie me pose problème. "Sint quoque eis in refectorio convive, quatenus sanctimonialibus alimenta uberius administrentur et quae forte minus habentur aequiori animo ommuniter toerentur, quoniam, si earum societatem curamque parvipendentes lauciores sibi cibos privatim domi praeparaverint, excepta causa infirmitatis aut hospitum, procul dubio in detractionis aut murmurationis noxam sibi subditas corruere conpellent." Après un premier répérage, j'ai quelques bouts, mais...la syntaxe me fait défaut une fois encore. Donc, bien que j'ai un sens général en tête, une traduction m'est difficile pour ce passage. cibos : aliments, pluriel accusatif. privatim : en particulier excepta causa infirmitatis aut hospittum = sauf pour raison d'infimirté/maladie ou d'hospitalité, in detractionis aut murmurationis noxam = dans le tort de la médisance ou du murmure procul : loin de, au loin. dubio : hésitant, trompeur(?) Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
BLACKSTONE Posted July 3, 2012 Report Share Posted July 3, 2012 Bonjour, Messalina, J'ai à peu près traduit ce paragraphe. Le voulez-vous, ou est-ce que j'attends votre proposition ? Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Messalina Posted July 3, 2012 Author Report Share Posted July 3, 2012 Pourriez-vous me laisser votre traduction s'il vous plaît? J'ai dû avancer sur d'autres parties de mon mémoire et je vous avouerai que je suis un peu noyée sous les traductions ^^ Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
BLACKSTONE Posted July 3, 2012 Report Share Posted July 3, 2012 J'affinerai plus tard, mais le sens est parfaitement clair. Voici le paragraphe : Qu’elles (les supérieures) prennent leur repas dans le réfectoire, dans la mesure où les aliments sont servis très abondamment aux religieuses, et où elles supportent en commun avec calme les choses qui sont d’aventure regardées comme trop peu abondantes, puisque si elles préparaient (au cas où elles prépareraient) chez elles, en privé, pour elles des nourritures plus somptueuses, méprisant la compagnie et le soin des sœurs, sauf en cas de maladie ou d’accueil de voyageurs, il fait peu de doute qu’elles ne poussent à faire tomber dans le péché de la médisance ou du murmure celles qui leur sont soumises. J'essaie de faire mieux un peu plus tard. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Messalina Posted July 4, 2012 Author Report Share Posted July 4, 2012 Je vous en remercie...! Je vais vous laisser un peu souffler avant d'introduire d'autres demandes de conseils. ^^' Je m'en rends compte que ce n'est pas très poli de ma part de vous assaillir ainsi! En tous les cas, je vous remercie encore beaucoup pour tout ce que vous faîtes. Vous n'imaginez pas à quel point cela peut m'avancer; Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
BLACKSTONE Posted July 4, 2012 Report Share Posted July 4, 2012 Bonjour, Messalina, Surtout, n'ayez pas de scrupules. Je sais que vous êtes confrontée à une échéance proche et incontournable. Alors, n'hésitez pas à demander de l'aide dès que vous en aurez besoin. Je devais partir en vacances à la fin de la semaine mais des problèmes familiaux font que je ne vais pas partir avant certainement le mois de septembre. N'hésitez donc pas, au contraire, à me solliciter dès que vous en avez besoin : il ne faut pas que vous preniez de retard... J'attends la suite ! Bien cordialement Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Messalina Posted July 4, 2012 Author Report Share Posted July 4, 2012 Votre soutien me touche beaucoup. J'espère que vos problèmes s'arrangeront, et que vous pourrez goûter à des vacances sans aucune doute méritées. En vous remerciant une nouvelle fois. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Messalina Posted July 18, 2012 Author Report Share Posted July 18, 2012 Bonjour à tous J'ai un souci, j'ai traduit le chapitre XXI mais je ne retrouve plus les concordances. Quia licitum est Deo dicatis canonice viventibus vernulas secum famulandi gratia in monasteriis habere, cavendum est illis, ut in eis animae potius salutem quam commodum terrenum quaerant. SOlent enim huiscemodi, effrenes et inpudicae effectae, cultu meretricio ornatae incedere et turpia quaeque et obscena, quae foris vagando viderint aut audierint, auribus dominarum suarum inpudenter ingerere, et animos earum a rigore divinae servitutis emollire. Quaproter necesse est, ut in talibus congregandis modum adhibeant discretionis, ut non amplius, quam necessitas exigit, sibi ad serviendum congregent et erga congregatas curam adhibeant, ne, illis quolibet peccato ruentibus, illarum ruinae participes existant. Si vero hae famulae aut abbatissarum aut certe sanctimonialium in claustris monasterii quippiam indecens admiserint et crebro admonitae atque correctae non se correxerint, extra claustra monasterii procul eiciendae atque aliminandae sunt. Voici ma traduction, j'arrive à suivre le début, mais après je me perds! C'est un chapitre que j'ai traduis de puis longtemps et je dois me repencher dessus! Si vous saviez me dire également d'où j'ai pu tirer le mot dortoir... Car il est permis par Dieu [dicatis] conformément à la Règle canoniale qu'il y ait des jeunes esclaves vivant avec elles - utilisées comme servantes dans les monastères, pour prendre soin d'elles, afin qu'elles cherchent dans leurs âmes le Salut plutôt que le confort terrestre. En effet, elles sont habituées à marcher (en étant) parées d'effets impudents et débridés par le soin de prostituées lesquelles voient ou entendent des choses répugnantes et obscènes en traînant dehors. Qu'elles prennent toutes leurs précautions contre les fréquentations et les familiarités et les conversations avec les hommes, comme cela est interdit par les Saints Pères. Qu'elles dorment toutes dans le dortoir, et comme il convient chacune dans son lit respectif. Dans le réfectoire qu'elles se nourrissent chaque jour à parts égales, exceptées celles que la maladie ou la faiblesse de l'âge empêche de faire cela. Qu'elles se dévouent chacune leur tour aux devoirs de charité. A celles qui soignent ou qui tiennent un silence religieux dans le réfectoire que la lecture leur soit faite en continue et que la lecture soit écoutées par elle de façon assidue. Qu'elles viennent quotidiennement aux réunions et qu'elles lisent complètement cette Institution, ou d'autres écritures divines, qu'elles réfléchissent attentivement au Salut de leur âme, même lorsqu'elles ont péché conformément à la gravité du délit. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
raoul Posted July 18, 2012 Report Share Posted July 18, 2012 Il me semble que vous avez mélangé deux passages: les deux premières lignes du texte latin correspondent (avec quelques erreurs) aux trois premières lignes du texte français; mais ensuite les deux textes divergent complètement. Essayez de clarifier cette énigme. Bonne soirée. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Messalina Posted July 18, 2012 Author Report Share Posted July 18, 2012 C'est bien ce que je pensais! Merci beaucoup pour la confirmation. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
BLACKSTONE Posted July 19, 2012 Report Share Posted July 19, 2012 Une petite remarque sur le début du texte et sa traduction : Quia licitum est Deo dicatis canonice viventibus vernulas secum famulandi gratia in monasteriis habere, Quia = Parce que licitum est = il est permis Deo dicatis canonice viventibus = à celles qui vivent canoniquement (selon la règle) au service de Dieu habere secum in monasteriis = d'avoir avec elles dans les monastères famulandi gratia = pour les servir vernulas = des servantes (certes, elles sont d'un statut particulier. Peut-on traduire simplement "esclaves" ? Il faudrait en préciser le statut à l'époque du concile. Bon courage ! Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Messalina Posted July 19, 2012 Author Report Share Posted July 19, 2012 Merci beaucoup, Blackstone. J'ai réussi à résoudre le mystère, j'avais mixé deux chapitres Oh je ne sais pas pour les esclaves, je sais que les serfs sont courant à l'époque, mais effectivement, esclave est un peu trop. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
raoul Posted July 19, 2012 Report Share Posted July 19, 2012 Une petite remarque sur le début du texte et sa traduction : Quia licitum est Deo dicatis canonice viventibus vernulas secum famulandi gratia in monasteriis habere, Quia = Parce que licitum est = il est permis Deo dicatis canonice viventibus = à celles qui vivent canoniquement (selon la règle) au service de Dieu habere secum in monasteriis = d'avoir avec elles dans les monastères famulandi gratia = pour les servir vernulas = des servantes (certes, elles sont d'un statut particulier. Peut-on traduire simplement "esclaves" ? Il faudrait en préciser le statut à l'époque du concile. Bon courage ! Oui, "Deo" est ct de dicatis et non de licet:: c'était l'erreur dont je parlais... Quant aux "esclaves", ce sont des "soeurs converses", de braves filles qui "n'ont pas inventé la poudre" mais qui, contre le boire et le manger, sont prêtes à se mettre au service des moniales Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
BLACKSTONE Posted July 19, 2012 Report Share Posted July 19, 2012 Tout à fait, Raoul ! Et cela a survécu jusqu'au 20° siècle inclus... Mais l'expression "soeur converse" n'était pas encore employée au IX° siècle, me semble-t-il, même si la réalité était bien là... Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Messalina Posted July 29, 2012 Author Report Share Posted July 29, 2012 Bonjour, C'est le souci avec les expressions anachroniques...il me brûle parfois les doigts d'écrire "chanoinesses régulières", mais au IXème siècle, le terme n'était pas employé. ^^ Je traduis présentement le chapitre XXII sur l'instruction (et/ou l'éducation) des moniales. XXII. Ut erga puellas in monasteriis erudiendas magma adhibeatur diligentia. XXII. Qu'on s'emploie à instruire les jeunes filles dans les monastères avec la plus grande attention. (Je n'ai pas vraiment trouvé la place du mot erga....qui signifie envers ou à l'égard de.) Religio ecclesiastica docet, ut puellae, quae in monasteriis erudiuntur, cum omni pietatis affectu et vigilantissimae curae studio nutriantur, ne, si lubricae aetatis annos indisciplinate vivendo transegerint, aut vix aut nullatenus corrigi postea possint. La religion ecclésiastique enseigne que les jeunes filles, qui ont été éduquées/instruites dans les monastères, avec toute la piété [affectu] et ont été nourries par l'étude la plus soignée, si elle ne s’accommodèrent en vivant sans retenue des années d'une vie trompeuse, peuvent nullement ou à peine être corrigées postérieurement. Je vous avouerai que je n'arrive pas bien à construire le lien logique de la phrase. Quapropter praeferantur eis ex santimonialibus tales magistrae quae utique et probabilis sint vitae et erga eas talem exhibeant curam, ut nequaquam huc atque illuc vagandi possint habere progressum et aut desidiae aut lasciviae vitio maculentur. C'est pourquoi [praeferantur eis ex sanctimonialibus tales magistrae qua utique et probabilis sint vitae et erga eas talem exhibeant curam], qu'elles ne puissent nullement faire des progères en errant ça et là et qu'elles aient été souillées par la paresse ou par le vice de la débauche. S'ils vous plaît, pourriez-vous m'éclairer sur mes traductions et sur les zones que je n'ai pas pu produire, je vous en serai bien reconnaissante En vous remerciant grandement. Bien à vous. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
raoul Posted July 29, 2012 Report Share Posted July 29, 2012 Trop tard, aujourd'hui. A demain, sans faute. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
BLACKSTONE Posted July 29, 2012 Report Share Posted July 29, 2012 Moi aussi ! A demain... Malgré l'heure tardive, je ne résiste pas à l'envie de faire le premier : Ut magna diligentia adhibeatur = Que le plus grand soin, la plus grande attention soit employée erga = préposition. Commande la suite : à l'égard de puellas erudiendas : traduire comme s'il y avait : puellas erudiendum : transformation classique du gérondif + accusatif en adjectif verbal (voir grammaire du site page 65, § 178 2°) à l'égard du fait d'instruire les jeunes filles dans les monastères. Il se trouve qu'en français, nous avons également un nom verbal pour traduire le gérondif : on peut donc traduire à l'égard de l'instruction des jeunes filles dans les monastères. Le reste pour demain ! Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
raoul Posted July 30, 2012 Report Share Posted July 30, 2012 C'est bien ça. Pour le gérondif transformé en adjectif verbal, on traduit d'abord en "mauvais français", ce qui donne :" à l'égard des jeunes filles devant être éduquées..." qui donne bien en fait: "pour ce qui est de l'éducation à donner aux filles dans les monastères, que l'on apporte (= on apportera) le plus grand soin ...etc. 2° phrase: ce qui fait la difficulté, c'est la double négation (ne...nullatenus) qu'il faudra donc traduire par une affirmation. //Pourquoi avoir mis le passé au lieu du présent?...Je te donne le mot à mot: ................que les jeunes filles instruites au monastère soient nourries avec la passion (affectu) de la piété et que l'on prenne le soin le plus vigilant ( que l'on veille avec le plus grand soin) à ce qu'elles ne puissent pas, au cas où elles auraient traversé sans discipline les années de l'âge difficile (de l'adolescence), n'en être pas du tout ou mal corrigées par la suite. En tournant au positif: "...........qu'elles puissent en être corrigées parfaitement ou du moins partiellement par la suite 3°) Attention : c'est "tales magistrae" qui est sujet de "praeferantur":" que soient mises à leur tête des maîtresses telles que.." Refais un autre essai en démarrant de cette façon; tu devrais trouver assez facilement . Je reviens ( ou Blackstone) tout à l'heure. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
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