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Axelos

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Tout ce qui a été posté par Axelos

  1. Merci beaucoup ! Je ne trouve pas votre traduction lourde ou maladroite. Le sens y est, en tout cas.
  2. Oui, j'imagine que ça ne doit pas être évident... En tout cas, faites-le pour le plaisir de traduire et n'y voyez surtout pas une obligation ! Encore merci pour votre attention.
  3. Bonjour BLACKSTONE, pas besoin de faire des vers réguliers pour la traduction ! Bonjour jacques. Vous avez bien raison ! J'ai fait très peu de latin (ayant suivi un cours de quelques heures seulement), donc c'est, pour ainsi dire, de la "bricole" pour passer le temps... Vous pouvez lire (entre autres) mes autres poèmes sur le site short édition : https://short-edition.com/fr/auteur/axel-janvier ...
  4. Merci pour votre attention. Ayant fait très peu de latin avant, j'ai maintenant un dictionnaire pour le vocabulaire mais je ne sais pas si l'ensemble fait toujours bien sens, si c'est à peu près clair (niveau "construction"/syntaxe, accords, conjugaison, etc.). C'est surtout pour le poème L'héritage que j'ai de sérieux doutes, étant donné que je n'avais pas de dictionnaire au moment où j'essayais de le traduire, et que j'ai dû "bricoler" en cherchant sur Google... Bon courage en tout cas !
  5. Bonjour, J'essaie, tant bien que mal, de traduire mes poèmes (écrits en français) en latin. Ces traductions sont-elles correctes (attention c'est un peu sombre/plombant/déprimant lol) : Le bouseux Charpie dans l'assiette, Je ne suis qu'un bouseuxMéprisé par Paris.Je vais mourir tantôtEt échapper bientôtA cette sordide étreinte,Condition qui m'enlace,Et dont je suis bien las...Charpies dans l'assiette,Faites donc comme si, Comme si je n'étais pas. Agricola Linamentum in gabata, Solum misellum agricolam sum Per Lutetia contemptus. Mox moriar, Atque sordido amplexo Mox fugere, condicio Quae me implicat, Atque mox fessus sum... Linamenta in gabata, Ut igitur facite, Ut non eram facite. L'héritage En songe, je revois les châteaux, Les troènes et les monts endormis. Havres au creux de l'hiver, Dans l'oubli vous resterez, Car telle est votre destinée, La cloche de verre sur vous fut posée. J'étreins cette absence, je me refais d'elle, Je la caresse de mes faibles doigts qui N'ont plus l'énergie de leurs jours passés. Ô luxe mort ! Ô fortunes éteintes ! Je me lève et lance un dernier cri d'honneur, Démis face à tant de splendeur perdue. Hereditatibus Per somno, reviso castella, Ligustra et somnum montibos. In hiberno sedibi, Oblivione manebitis, Vitrum clocca in vobis posita fuit. Haec absentiam amplexo Sui refacio, Meorum humilium digitorum adulor Qui energiam eorum praeteribus diebus non habent O deliciae morturientis ! O divitiae extincta ! Ego surgere et ultimum clamorem honoris jacio, Proximo antum splendore amissa dimissus. ?
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