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C'est un excellent travail.
Je n'ai que deux remarques à faire :
Après que ce discours eût été : attention. Après que indique un fait réeel : le français utilise donc l'indicatif (mode du fait réel. Donc, on va utiliser le passé antérieur de l'indicatif : "eut été tenu (sans accent circonflexe).
En revanche, "avant que" commande le subjonctif français : le fait relaté ne s'est pas encore produit, donc on utilise le subjonctif (mode de la pensée).
Dans ta dernière phrase, reste plus près du texte. Tu peux supprimer tout simplement "qui n'avait jamais vu d'ennemis", qui ne fuigure pas dans le texte.
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Nos messages se sont croisés...
Dans une proposition (qu'elle soit en français ou en latin), on n'a pas besoin d'exprimer deux fois le même sujet :
Certains amis d'Hannibal, alors qu'ayant été chassé de Carthage il vivait auprès du roi Antiochus à Ephèse,ils lui demandèrent s'il voulait entendre le discours d'un certain philosophe grec au sujet de l'art militaire
Dans ta phrase française, le "ils" fait double-emploi. Il faut donc le supprimer :
Certains amis d'Hannibal, alors qu'ayant été chassé de Carthage il vivait auprès du roi Antiochus à Ephèse,
lui demandèrent s'il voulait entendre le discours d'un certain philosophe grec au sujet de l'art militaire.
Ceci est la seule manière correcte grammaticalemnt d'écrire cette phrase.
Surtout, n'hésite pas à demander des détails sur ce que tu n'as pas compris.
Je t'aiderai aussi volontiers en grammaire française si tu le désires.
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2. Qui non noluit.
2. Il ne voulut pas ( ou il refusa la proposition je ne sais pas comment affiné ma phrase !! )Attention, ce que tu as traduit correspond à "noluit" = il ne voulut pas. Mais il y a une négation devant noluit : "non noluit". Deux négations valent une affirmation... Situ regardes ton dictionnaire (gros Gaffiot), tu verras qu'il traduit "non nolle" par "vouloir bien, ne pas faire d'objection. On peut aussi traduire "nolle" par "refuser".
3. Ea oratione habita, quidam Hannibalem interogavit quid ipse de illo philosopho sentiret.
3. Après que ce discours eut lieu, quelqu'un interrogea Hannibal à proppos de ce qu'il pensait ( subjoncif imparfait ??? ) à propos dde ce philosophe.Attention, "après que suppose plutôtun passé comùposé : "Après que ce discours a eu lieu..." Le reste est bon.
4. "Multos jjam insanos senes vidi inquit, sed neminem adeo insanientem (insanire) vidi."
4. " J'ai vu de nombreux viellard, dit-il, mais je ne vis personne d'aussi insensé . "N'oublie pas de traduire "jam" : J'ai déjà vu...Le deuxième "vidi" : traduis aussi par un passé composé français : il faut être logique par rapport au début : mais je n'ai vu...
5. Quomodo enim ille philosophus, qui numquam hostem, nunquam castra viderat, aliquid de re militari scire poterat ?
5. En effet, comment ce philosophe, qui n'avait jamais vu de camps, pouvait savoir quelque chose au sujet de l'art militaire ?C'est bien.
Bon courage !
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Bonjour, Auré75.
Je crains que ton problème soit plus un problème de français que de latin. Tu as écrit :
Certains amis d'Hannibal, alors qu'ayant été chassé de Carthage, il vivait auprès du roi Antiochuspuis,ils lui demandèrent s'il voulait entendre le discours d'un certain philosophe grec au sujet de l'art militaire.
Or, telle quelle, n'est pas française. "Certains amis d'Hannibal" qui est manifestement le sujet de la proposition principale, reste "en l'air" et tu éprouves le besoin de faire une deuxième proposition commençant par "puis ils...". Le texte latin est parfaitement construit. Un texte latin ne peut donner lieu à une construction fautive en français.
Faisons l'analyse logique, c'est à dire la construction, de la phrase latine :
Amici quidam Hannibalis, cum Carthagine pulsus Ephesi apud Antiochum regem viveret, ab eo quaesiverunt num philosophi cujusdam Graeci de re militari oartionem audire vellet.
Amici quidam Hannibalis = Certains amis d'Hannibal, = début de la proposition principale
cum Carthagine pulsus, Ephesi apud Antiochum regem viveret = alors que, ayant été chassé de Carthage, il vivait chez le roi Antiochus = proposition subordonnée conjonctive de temps avec nuance causale ou adversative ce qui explique le subjonctif
ab eo quaesiverunt = lui demandèrent = reprise de la principale après la subordonnée enclavée
num vellet audire orationem de re militari philosophi cujusdam graeci = s'il voulait entendre la conférence sur l'art militaire d'un certain philosophe grec = proposition complétive interrogative indirecte (ce qui explique le subjonctif, obligatoire en latin, vellet), complément du verbe quaerere
Je t'ai fait toute la construction pour que tu comprennes que je n'ai pas cherché à "construire le sens" (expression qui, pardonne-moi, ne veut rien dire) mais tout simplement à suivre la construction de la phrase latine qui me donne, en français, une construction et une traduction parfaitement correctes.
Je continue demain pour la suite, où tu as eu beaucoup moins de problèmes.
A demain
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Oui, Raoul, c'est bien ce que je voulais dire : notre sympathique correspondant avait écrit
.auprès du roi Antioche à Ephèse -
C'est tout simplement parce que tu fais une erreur de construction.
Le début est correct :
Certains amis d'Hannibal,
et ensuite, il faut immédiatement traduire la conjonction de subordination "cum"
alors que,
Carthagine pulsus, ayant été chassé de Carthage
viveret = il vivait. Le latin a mis un subjonctif parce que cum ne signifie pas simplement lorsque mais introduit une nuance causale, difficile à rendre en français. Le français utilise ici l'indicatif.
auprès du roi Antiochus (attention : "Antioche" est une ville, et pas le nom d'un roi)
lui demandèrent = demander à quelqu'un se dit en latin : quaerereab aliquo
vellet : le latin utilise toujours le subjonctif dans l'interrogation indirecte, le français utilise l'indicatif. Donc "voulait" convient parfaitement.
Si tu as d'autres questions, n'hésite pas.
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Bonjour, Auré75. C'est bien de poser des questions et de ne pas profiter des réponses des autres. Je te réponds demain matin.
A bientôt !
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3. Ea oratione habita, quidam Hannibalem interogavit quid ipse de illo philosopho sentiret.
Ea oratione habita : littéralement : Ce discours ayant été tenu. En français, on traduira par "Après que ce discours a eu lieu (ou "a été tenu")
Phrase 4 :
4. "Multos jam insanos senes vidi inquit, sed neminem adeo insanientem (insanire) vidi."Où as-tu été cherché le roman qui termine ta phrase ? Traduis simplement les mots !
Le début est correct
Vidi jam = J'ai déjà vu
multos senes = de nombreux vieillards
insanos = fous
inquit = dit-il.
Sed = mais
vidi neminem = je n'ai vu personne
insanientem = agissant en fou
adeo = à ce point.
Je suppose que tu as compris que le verbe qui se trouve entre parenthèse ne doit pas être traduit mais a été mis là pour te permettre de trouver facilement dans le dictionnaire "insanientem" qui en est le participe présent.
5. Quomodo enim ille philosophus, qui numquam hostem, nunquam castra viderat, aliquid de re militari scire poterat ?Pour la dernière phrase, tu as écrit :
5. Comment ce philosophe, qui n'avait jamais vu d'ennemis, qui n'avait jamias vu des placess fortes, pouvait-il parler de choses militaires ?Tu as presque juste : je te fais la construction :
Quomodo enim = Comment en effet
ille philosophus = ce philosophe
qui n'avait jamais vu un ennemi, jamais vu un camp (une place forte)
poterat = pouvait-il
scire = connaître, savoir
aliquid = quelque chose
de re militari = de la chose militaire, de l'art militaire ?
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Phrase 3 : 3. Ea oratione habita, quidam Hannibalem interogavit quid ipse de illo philosopho sentiret.
Peux-tu traduire littéralement l'ablatif absolu avec un sujet à l'ablatif :
Ea oratione = sujet
habita = participe passé passif, à traduire de la même manière en français.
certains l'interrogeaient pous savoir ce qu'il pensait de son philosophe
interrogavit est au singulier. Le sujet est bien "quidam", mais ici, quidam est un nominatif singulier masculin : Quelqu'un.
illo n'est pas un adjectif possessif (son) mais un adjectif démonstratif.
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Après qu'ils eûssent été chassées de Carthage où Hannibal vivait, certains des ses amis demandèrent au roi Antiochus s'il voulait écouter un discours (orationem est ici à l'accusatif singulier donc COD) sur les arts militaires de la Grèce (Graeci est ici au génitif donc complément du nom re militari, nominatif pluriel = les arts militaires de la Grèce)
Amici quidam Hannibalis, cum Carthagine pulsus Ephesi apud Antiochum regem viveret, ab eo quaesiverunt num philosophi cujusdam Graeci de re militari oartionem audire vellet.
Bonjour !
En fait, tu n'as pas compris que je t'avais fait la traduction du début de ta phrase. La place de "cum" est la même en français et en latin. Il faut respecter la logique de l'ordre des mots latins et ne pas remplacer des singuliers par des pluriels.
Je te réécris donc le début de la traduction que je t'avais donnée. Je mets en gras la traduction et en italique mes commentaires.
Certains amis d'Hannibal, alors qu'ayant été chassé de Carthage Hannibal, bien entendu : pulsus est au singulier et ne peut se traduire par un plurielil vivait à Ephèse auorès du roi Antiochus, lui demandèrent si il voulait écouter un discours d'un certain philosophe grec cujusdam est l'adjectif indéfini au génitif, graeci est un adjectif au génitif singulier, épithète de philosophi. rei militari ne peut pas être an nominatif pluriel : ce sont deux mots de la troisième déclinaison. Regarde ton dableau de déclinaison : ce sont des ablatifs singuliers.au sujet de l'art militaire Littéralement : au sujetcde la chose militaire.
Phrase 2 : Mais Hannibal ne refusa pas On ne refuse pas quelqu'un mais à quelqu'un. Si tu veux absolument mettre un complément, il faut dire : Mais Hannibal ne leur refusa pas. En fait, le sens exact est : Mais Hannibal ne voulut pas dire non.
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Pour la fin de ta première phrase :
Audire a un COD :
orationem = de oratio -onis = discours = quel cas ?
cujusdam = analyse grammaticale (cas, nombre)
Graeci = même question.
de = au sujet de, sur + ablatif.
re militari = quel cas ?
A toi de jouer...
Phrase 2 :
Qui = relatif de liaison Mais lui (Hannibal)
noluit = parfait, et pas imparfait.
Ea oratione habita = ablatif absolu.
Analyse les formes :
Ea, oratione et habita. Et cesse de deviner ! Le latin n'est pas une devinette. Que dirait ton prof de math si tu mettais les chiffres et les signes dans n'importe quel ordre et que tu pensais trouver le résultat ainsi ?
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Tu n'as toujours pas construit !
Je te fais la construction de la première phrase pour te mettre sur la voie, mais pour le reste, il faut que tu fasses un effort. Je t'aiderai évidemment.
Amici quidam Hannibalis, cum Carthagine pulsus Ephesi apud Antiochum regem viveret, ab eo quaesiverunt num philosophi cujusdam Graeci de re militari oartionem audire vellet.
Amici quidam Hannibalis = certains amis d'Hannibal,
cum = alors que,
Carthagine pulsus = après avoir été chassé de Carthage,
viveret = il vivait
apud Antiochum regem = auprès du roi Antiochus,
ab eo quasiverunt = lui demandèrent...
num = si
vellet = il voulait
audire = écouter...
Essaie de finir déjà cette première phrase. As-tu compris la méthode ?
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Prenons déjà la première phrase.
Quidam = n'oublie pas de traduire cet adjectif indéfini : "certains amis"
cum = comme, alors que...
Carthagine est un ablatif de lieu (sans préposition : c'est une ville).
viveret = a pour sujet "Hannibal sous entendu.
pulsus = particiê passé d'un verbe signifiant "chasser". A pour complément Carthagine.
Ephesi : au "locatif" (le liu où on est = à Ephèse
Il faut construire à partir des Cas, et ne pas essayer de deviner un sens à partir des mots : c'est la meilleure manière de faire des contre-sens !
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Encore un grand merci, Salinator !
Je continue vaille que vaille malgré des demandes un peu rares et parfois curieuses... Heureusement que je peux réviser de temps en temps mon histoire sainte avec un vrai latiniste !
Bon courage à vous !
Bien cordialement
Daniel Blackstone
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Tout dépend de l'habitude du professeur.
Pour être complète, l'analyse comprend
- la citation du nominatif et du génitif, s'il s'agit d'un nom, des temps primitifs s'il s'agit d'un verbe etc.
- le cas, le genre, le nombre, pour noms et adjectifs, la voie, le mode, le temps s'il s'agit d'un verbe.
- la fonction (sauf pour les verbes).
Attention cependant aux formes nominales du verbe - infinitif - gérondif - supin - adjectif verbal, qui ont aussi une fonction.
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exstare = exister, demeurer, A pour sujet epistolae
sed etiam = mais aussi
hausisse de haurio = puiser, tirer de (ab)
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Anne, pardon pour ce bégaiement : pereo, perire, bien sûr !
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amittere vitam = traduisez littéralement (amittere = perdre)
perreo = pourquoi ne pas prendre le sens habituel : périr ?
ferro est un ablatif (de moyen)
Bon courage !
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Bonjour, Dhalys.
Je ne peux malheureusement pas donner un témoignage... Ce n'est plus de mon âge ! Mais je peux te dire que les élèves que j'ai suivis et qui avaient pris les cours du CNED s'en sont en général bien trouvés. Cela demande-t-il beaucoup de travail ? Cela dépend de ton niveau de départ en latin. Est-ce bien fait ? Oui, même si c'est parfois un peu fouillis ou pas très logique : le contenu est bon et prépare effectivement à l'épreuve de spécialité.
Et si tu te décides, nous serons là pour t'épauler.
De plus, à l'examen, les candidats dans ton genre bénéficient d'un préjugé très favorable. L'examinateur tient compte de la difficulté d'une préparation solitaire et note très souvent en conséquence.
Bon courage et peut-être à bientôt !
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Bonjour, nana23,
J'arrive un peu tard (retour de vacances...). Pour le complément du comparatif, il y a deux formules :
- quam + proposition elliptique
- complément circonstanciel à l'ablatif.
Pour le détail, va voir la grammaire du site (la bonne vieille "Cayrou") qui est très claire à ce sujet (pages 128 et 129).
Pour t'aider, je te mets le lien direct, mais il suffit de retourner à l'accueil, de cliquer à gauche sur "grammaire" puis defaire défiler les pages de tables jusqu'à la page 5 où tu pourras cliquer sur "complément du comparatif". Voici le lien : http://www.locutio.net/modules.php?name=grammaire5
Bon courage !
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I.1 Nam quibusdam, et iis quidem non admodum indoctis, totum hoc displicet, philosophari.
En effet, tout cela déplaît aux uns de parler philosophie, et, en vérité, ceux-là ne sont pas complètement incultes.
J'aimerais mieux comprendre la structure de cette partie: iis quidem non admodum indoctis. C'est bien un sunt qu'on doit sous-entendre pour rendre la phrase "complète".
Aussi, totum porte-il sur hoc ? Et quibusdam est-il bien le premier complément de displicet et philosophari le second ? => déplaire à qqn de faire qqch
Voici un petit exemple de traduction sur cette phrase que vous n’avez pas mal construite mais où il y a des erreurs faute d’en avoir saisi le mouvement.
quibusdam et iis sont sur le même plan. Et méfiez vous des « sous-entendus ». C’est le français qui a parfois besoin de « sous entendre ». Si le latin n’a pas exprimé un « esse », c’est qu’il n’en éprouve pas le besoin. Philosophari est apposé à hoc, sujet de displicet.
Je traduis en gardant le mouvement de la phrase. Quibusdam et iis sont bien des compléments au datif (Complément d’Objet Ssecond, comme on dit maintenant, ou complément d’attribution comme on disait autrefois).
Nam = En effet,
quibusdam = à certains, à certaines personnes
et iis quidem = et… quidem signifie et qui plus est. C’est le sens ici. = et qui plus est à ceux ou à des gens
non admodum = pas tout à fait
indoctis = ignorants (Gaffiot donne ce texte en exemple avec cette traduction : « qui ne manquent pas tout à fait de culture ».On pourrait traduire plus légèrement : à des gens pas tout à fait dépourvus de culture.
totum n’es pas directement lié à hoc. On peut cependant le voir ainsi. Je préfère en faire un accusatif de relation
hoc totum = cet acte déplait absolument
philosophari = infinitif substantivé (l’infinitif, tout en gardant son statut de verbe pouvant avoir des compléments est aussi une « forme nominale » du verbe) apposé à hoc = le fait de philosopher.
Il suffit de relier ce qui est en caractère gras pour avoir une traduction qui se suit.
Bravo pour ce courageux travail. Je continue doucement pour les autres phrases. Dites-moi s’il y a d’autres choses à expliquer dans cette phrase.
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Non recuso laborem... mais pas tout seul ! Pour ce genre de demande, nous avons l'habitude de travailler en équipe. Mais les collègues sont peut-être en vacances. Pouvez-vous nous donner déjà le début du manuscrit ? On peut toujours essayer...
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Bonjour, Barca,
Attends-tu toujours une réponse ? Je vois que tu nous a écrit le 14 juillet. Si tu es toujours là, je te répondrai volontiers.
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Il est un peu tard... Déjà deux éléments de réponse : calligrapgie, c'est du grec et ça veut dire "la belle écriture".
Quant à "De", il est suivi de l'ablatif.
Bon courage !
traduction des phrases à rendre pour mardi 14/12/2010
in Je suis au collège
Posted
Bonsoir, Auré 75,
Il n'y a effectivement plus grand chose à dire sur ta version. Pourtant, il y a encore une faute de temps dans la phrase 3 :
Les temps latins sont : un participe passé et un parfait.
L'ablatif absolu indique bien une antériorité par rapport à la principale.
Si tu traduis par un "passé composé" français, et ensuite par un passé simple, les deux phrases se trouvent temporellement sur le même plan, ce qui n'est pas.
Si on garde la transformation du participe absolu en proposition de temps, il va falloir, en français, utilisé un temps du passé antérieur au passé simple. C'est précisément le temps qu'on appelle en français : "passé antérieur", et qui n'existe pas en latin.
En résumé :
Présent : le discours a lieu
Passé simple : le discours eut lieu
Passé composé : le discours a eu lieu
Passé antérieur : le discours eut (passé simple de "avoir") eu lieu. C'est la seule possibilité ici.
Tu peux aussi recourir à d'autres formules qui évitent cette tournure un peu lourde.
Par exemple : Une fois le discours tenu,...
N'oublie pas le "s" à vieillards (de nombreux vieillards)
Rien à dire pour le reste. Bravo. Tiens-moi au courant de ton devoir !