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raoul

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Tout ce qui a été posté par raoul

  1. Essaye déjà de corriger la première partie; si c'est bon, on continuera plus tard. En quelle classe es-tu? 3°? Bon courage! à tout à l'heure
  2. Bien!, ça prend bonne forme n'oublie pas de traduire aussi la relative qui a pour antécédent "Romanos"
  3. Il est minuit; je rentre juste à l'instant et dois m'absenter jusqu'à vendredi. Un de mes collègues te donnera sûrement le coup de main nécessaire. Il existe aussi des traductions toutes faites sur le net. Sans les copier, tu peux t'en inspirer...
  4. raoul

    Version

    La traduction existe déjà sur internet mais attention: ce n'est pas le mot à mot de ton texte et bien sûr, ton professeur doit sûrement la connaître aussi... donc, essaye déjà de faire au brouillon ce que tu comprends: on te corrigera, puis tu pourras améliorer ta traduction en allant consulter celle d'internet. Pour t'aider à démarrer, voici quelques indications: Il s'agit de conseils que Caton l'ancien (personnage plutôt "retro" et peu féministe) donne à quelqu'un au sujet de la première servante d'une ferme (Vilica) . Les verbes principaux sont donc à l'impératif futur: "curato", "esto", "facito", "scito"... comme ces formes n'existent pas en français, il faut les traduire soit par un impératif présent, soit par un indicatif futur; par exemple, pour commencer: curato: veille (ou "tu veilleras) faciat: (à ce qu')elle accomplisse officia: les devoirs quae sunt: qui appartiennent vilicae: à une première fille de ferme. Essaye de continuer de la même manière; on continuera à t'aider, en cas de besoin
  5. raoul

    Aide pour Thème

    Bien sûr que c'est "pas mal"...mais si tu rends ce texte tel quel, tu risques des problèmes avec ton prof. qui le connaît certainement.
  6. raoul

    latin medieval

    voir messagerie
  7. Je vieillis mal, décidément!... Le nominatif pluriel de "res" aurait été "res" et non pas "rei"! Merci Pastrix.
  8. On peut t'aider, mais pas faire à ta place. Dis-nous exactement ce que tu ne comprends pas.
  9. raoul

    Les mystères d'Alésia

    J'espère bien que non! Galilée aussi était ridiculement minoritaire en son temps et la polémique était alors interdite à propos du géocentrisme. Qu'on laisse au moins les chercheurs chercher: qu'est-ce qu'on risque? Puisque votre certitude est établie, vous n'aurez aucun mal à convaincre sur place les tenants de l'autre thèse.
  10. raoul

    Cicéron De Finibus

    ...ça ne vous convient pas?...
  11. raoul

    Cicéron De Finibus

    Voir le messageconflique, le 08 août 2010 à 14:20, dit : Bonjour, J'ai commencé à faire du latin à petites doses depuis deux ans. Pour améliorer mon niveau, j'ai décidé de lire le début du De Finibus de Cicéron (texte établi par L. D. Reynolds)... J'ai quelques points de grammaire qui me préoccupent. Je ne cherche pas vraiment à trouver une traduction élégante, mais simplement à comprendre la structure de toutes les phrases. Votre aide me serait chère =) I.1 Nam quibusdam, et iis quidem non admodum indoctis, totum hoc displicet, philosophari. En effet, tout cela déplaît aux uns de parler philosophie, et, en vérité, ceux-là ne sont pas complètement incultes. J'aimerais mieux comprendre la structure de cette partie: iis quidem non admodum indoctis. C'est bien un sunt qu'on doit sous-entendre pour rendre la phrase "complète". En fait, "iis...indoctis est simplement apposition (à valeur concessive) à "quibusdam" Aussi, totum porte-il sur hoc ? Et quibusdam est-il bien le premier complément de displicet et philosophari le second ? => déplaire à qqn de faire qqch "totum" a plutôt valeur adverbiale et "hoc" est plutôt apposition à "philosophari" (sujet de displicet) I.1 Quidam autem non tam id reprehendunt si remissius agatur, sed tantum studium tamque multam operam ponendam in eo non arbitrantur. Les autres, néanmoins, ne reprochent pas tant cela (de parler philosophie) si on le fait modérément, mais ils considèrent qu'il ne faut pas y consacrer tant de zèle et d'aussi grands efforts. Je ne comprends pas trop pourquoi l'adjectif verbal ponendam comme participe d'obligation (il faut donc sous-entendre esse) est à la forme féminine... Dans la tournure impersonnelle, j'aurais attendu un ponendum. Le gérondif, en devenant adjectif verbal, s'accorde en genre et nombre avec son complément (ici, operam) Et si tantum studium tamque multam operam est son sujet, pourquoi alors ponendam plutôt que ponendas ? l'accord se fait avec le plus proche des deux compléments I.2 Contra quos omnis dicendum breviter existimo J'estime qu'il faut répondre brièvement à tous ceux-là. J'ai déjà vu qu'en poésie (pas seulement) omnes pouvait s'écrire omnis. Est-ce le cas ici ? oui Sinon je ne sais pas trop quoi en faire. I.3 Sive enim ad sapientiam perveniri potest, non paranda nobis solum ea sed fruenda etiam [sapientia] est; sive hoc difficile est, tamen nec modus est ullus investigandi veri nisi inveneris, et quaerendi defatigatio turpis est cum id quod quaeritur sit pulcherrimum. Soit, en effet, il est possible de parvenir à la sagesse et il ne nous faut pas seulement nous y disposer, mais encore en faire usage; soit il est difficile d'y parvenir et il n'y a d'ailleurs aucune limite de la recherche du vrai si ce n'est qu'on le découvre; la fatigue de chercher est honteuse, puisque ce qui est cherché est la chose la plus belle. Là, j'ai d'abord un problème de compréhension, je ne vois pas trop où il veut en venir... Mais est-ce que ma (Si c'est bien "ta" traduction, c'est que tu en as compris le sens...qu'est-ce exactement que tu ne comprends pas?) traduction est grammaticalement correcte ? Je crois me rappeler qu'à la deuxième personne du singulier au passif ("inveneris n'est pas au passif...), on peut traduire par « on »: nisi inveneris => si ce n'est qu'on la découvre. (oui, la 2° personne peut se traduire par "on") Est-ce cette deuxième personne au passif traduisible par un « on » en français a-t-elle un nom particulier ? Je ne crois pas Je n'ai pas le temps de finir ce soir, donc à demain (à moins qu'un de mes honorables collègues prenne ma relève) Bonne soirée. Je n'ai pas eu une minute avant ce soir...désolé!! On va essayer d'avancer un peu: 1) Comme vous le remarquez vous-même, la "philosophie" étant l'amour de la sagesse, il est bien normal que la sagesse soit l'objet de la quête du philosophe. 2) "sive...sive...n'est pas exclusif. C'est la façon d'aborder le sujet qui est différente:" soit on met l'accent sur la possibilité d'aboutir dans cette quête de la sagesse, et alors il faut........,soit on met l'accent sur la difficulté de cette quête mais même alors (tamen) ........." est-ce-que cela vous éclaire? I.6 Quid ? si nos non interpretum fungimur munere, sed tuemur ea quae dicta sunt ab iis quos probamus eisque nostrum iudicium et nostrum scribendi ordinem adiungimus, quid habent cur Graeca anteponant iis quae et splendide dicta sint neque sint conversa de Graecis ? Nam si dicent ab illis has res esse tractatas, ne ipsos quidem Graecos est cur tam multos legant quam legendi sunt. Eh quoi ? Si nous ne remplissons pas la tâche *, mais que nous considérons avec soin les paroles de ceux que nous estimons et que nous y joignons notre jugement et notre manière d'écrire, quelle raison ont-ils (a-t-on) pour préférer les écrits grecs aux écrits latins qui ont été rédigés avec un style brillant et qui n'ont pas été traduits du grec ? S'ils disent (si on dit)que ces thèmes ont été traités par les Grecs, il n'y a pas même une raison pour laquelle ils lisent (on lise)autant de ces mêmes Grecs ** *J'ai un peu de peine avec: si nos non interpretum fungimur munere. Qu'est cet interpretum ? Une forme contractée d'interpretatum ? Oui: on pense toujours au participe alors que le supin a sa valeur de supin (but), ici: ( munere interpretum: le travail qui a pour but de traduire =le travail de traduction) Quand bien même, je ne saurais pas trop quoi en faire... Un infinitif en sous-entendant esse ? Mais pourquoi interpretum esse et non pas interpretor ? Quelle nuance cela apporte-t-il ? ** Quelles sont les différentes manières de traduire un adjectif verbal avec esse ? Il y a l'obligation, mais ici ça ne marche pas bien: autant de ces mêmes Grecs qu'ils doivent lire / qu'il faut lire (?) Il m'a semblé qu'on pouvait aussi traduire ce participe en rajoutant le suffixe -able: autant de ces mêmes Grecs qu'il est possible de lire (qu'il est « lisable »). -->"autant... qu'il y en a à lire" donc pas d'obligation, mais "disponibilité" Comment appelle-t-on ce participe ? "legendi" est adjectif verbal Et aussi, quand je traduis par: qu'il est possible de lire, est-ce que je ne fais pas de legendi sunt un participe à valeur impersonnelle ? En somme, ce serait aimable de m'aider à analyser cette partie. I.7 Quamquam si plane sic verterem Platonem aut Aristotelem ut verterunt nostri poetae fabulas, male, credo, mererer de meis civibus si ad eorum cognitionem divina illa ingenia transferrem. Et pourtant, si je traduisais complètement Platon ou Aristote comme nos poètes ont traduit les pièces de théâtre, je nuirais, (je "mériterais mal" = je rendrais un mauvais service) je crois, à mes concitoyens si je portais à leur connaissance ces esprits divins. J'ai un peu de peine à comprendre ce qu'il veut dire... En fait, il veut sûrement dire le contraire de ce que laisse entendre ma traduction... Où est ma faute ? Il n'y a pas faute: c'est bien un mauvais service que de se contenter en philosophie de rabâcher ce qu'ont dit les anciens sans y adjoindre la moindre opinion personnelle. I.7 Locos quidem quosdam, si videbitur, transferam, et maxime ab iis quos modo nominavi, cum inciderit ut id apte fieri possit, ut ab Homero Ennius, Africanus a Menandro solet. Je traduirai, en vérité, certains passages,si cela se présente ="à l'occasion" *, et principalement de ceux que j'ai nommés précédemment, puisqu'il est arrivé--> lorsqu'il arrivera que cela puisse être fait convenablement, comme Ennius s'est habitué à le faire pour Homère et Afrianus pour Ménandre. Je n'arrive pas à traduire si videbitur correctement: « s'il semblera » au milieu d'une phrase ne veut rien dire en français. Pour l'instant, c'est les questions que j'avais... Désolé pour les éventuelles fautes de recopie du texte latin. Merci beaucoup pour votre aide ! Et maintenant, au dodo!
  12. raoul

    correction de version

    Barca, on ne va pas recommencer le cinéma de l'année dernière...
  13. raoul

    Cicéron De Finibus

    Désolé, Blackstone, je n'avais pas vu ce post. A bientôt, sans doute.
  14. raoul

    Cicéron De Finibus

    Et maintenant, au dodo!
  15. raoul

    Nom de ville

    C'est que "Romae", ici, n'est pas la destination mais le ct du nom "rex" , au génitif donc ("le premier roi de Rome"
  16. Ego autem otium quasi perpetuum ago...duodecimum jam annum. adero igitur quoque...
  17. raoul

    Explications du temps choisi

    fuerant est en effet + que parfait du verbe être (ils avaient été) Mais le +que parfait d'un verbe passif se forme en associant le participe passé du verbe à l'imparfait du verbe être. exemple: "educabant": ils éduquaient, "educabantur": ils étaient éduqués, "educati erant": ils avaient été éduqués. (reportez vous aux tableaux de conjugaison de votre grammaire, pour plus de détails)
  18. C'est une citation de l'Evangile: "vends tout ce que tu possèdes et suis-moi"
  19. raoul

    THEME FRANCAIS LATIN

    On corrigera volontiers ton brouillon, dès que tu l'auras envoyé.
  20. Bravo: cette fois, on y est!
  21. C'est bien mieux, mais prends l'habitude d'analyser: ce sera parfait.
  22. Tu as fait ce qu'on te demandait et c'est juste, mais, manque de chance, au génitif pluriel, le latin préférait garder le gérondif suivi de l'accusatif à cause de la lourdeur du génitif en "orum" ou "arum"...
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