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Bill

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  1. Il y a 5 heures, Cloelia a dit :

    Bonjour Helvah,

    Les grands groupes ne meurent jamais. Born to be wild est une chanson que je connais depuis longtemps dont la musique me met de bonne humeur.  https://www.youtube.com/watch?v=egMWlD3fLJ8 

    Il est facile de traduire le titre en plusieurs langues mais une traduction mot à mot n'est pas possible en latin. Je suppose que votre traduction vient de Google translate. En tout cas elle ne veut rien dire. 

    Après avoir lu les paroles je pense que "être sauvage" signifie être libre et oser faire des choses folles. Sénèque, le philosophe stoïcien, a écrit dans son œuvre De la tranquillité de l'âme (De Tranquillitate animi) [17,10]   http://agoraclass.fltr.ucl.ac.be/concordances/intro.htm#sen

    Nam, siue graeco poetae credimus, "aliquando et insanire iucundum est" Car s'il faut en croire un poëte grec: « Il est quelquefois agréable de perdre la raison. » 

    Cela m'a inspiré de traduire « Né pour être sauvage »  par « Natus sum ad insaniendum»  (Je suis né à être insensé, agir en fou, faire des folies.)

    Maintenant il reste à savoir si Bill ou Jacques confirme ma traduction ou propose une autre.

     

    Bonjour,

    J'essaie une nième fois de répondre à cette question. Je suis inscrit sur ce forum depuis 2012 et mes réponses ne parviennent plus.

    Je proposais il y a quelques jours: Natus vitae ferae= Né pour une vie sauvage.  Mais, pour rebondir sur votre proposition on pourrait traduire: Natus vitae insanae ou Natus insaniae.

  2. Il y a 16 heures, Cedric a dit :

    bonjour et pour l'autre phrase svp ? car c'est google qui m'a proposé ça et je me méfie un peu, merci

     

     

    Bonjour, je vous propose ceci:

    Me superbiorem facio,: Je me rends trop orgueilleux.

    Me paenitet peccati mei.:  je regrette ma faute.

  3. Il y a 19 heures, Bill a dit :

    Bonsoir! Voici ce que j'ai trouvé. "Omnia sunt hominum tenui pendentia filo " écrit Ovide= Tout ce qui est humain est suspendu à un fil fragile. "Pendere filo"= être suspendu à un fil.

    Je reviens à vous  après avoir lu chez Horace " sub cultro linquit"= "Il me laisse sous le couteau" autrement dit "dans une situation désespérée" dont certains ont tiré "sub cultro esse"= être sous le couteau" , expression comprise comme signifiant la même chose que "être sur le fil du rasoir"

  4. Il y a 19 heures, Lazug a dit :

    Bonjour à tous,

    Mes quelques cours de latin s'étant dissipés au fond de ma mémoire, je sollicite votre aide.

    Avez-vous s'il vous plait une idée de traduction en latin de la locution "Sur le fil du rasoir".

    Un grand merci à vous.

    Bonsoir! Voici ce que j'ai trouvé. "Omnia sunt hominum tenui pendentia filo " écrit Ovide= Tout ce qui est humain est suspendu à un fil fragile. "Pendere filo"= être suspendu à un fil.

  5. Le 24/05/2021 à 10:48, Mikoyan a dit :

    Ensuite, je ne sais pas comment interpréter in occultis suis, je ne sais pas si je dois traduire littéralement dans leurs secrets, ce qui me paraît étrange, ou simplement en secret ou secrètement entre eux ou bien encore sous entendre quelque chose de ce genre : dans leurs réunions sécrètes :

    Et hanc quidem rationem manifestius dicunt, sed in occultis suis, quod pejus est dicunt. Videlicet omnem carnem facturam diaboli esse, ideoque neque in summis necessitatibus eam ullatenus gustant.

    Certes, ils disent très évidement cette <même> raison, <que toute chair naît d'un accouplement>, mais secrètement entre eux ils disent un propos des plus pires, à savoir que toute chair a été faite par le diable. C'est pour cette raison, qu'il ne la goûte que dans le cas de la plus extrême nécessité.

     

    Voici une traduction:

    Certes ils avancent ouvertement cette raison ( à savoir que la chair provient de l’accouplement et donc en manger est impur), mais en secret ils disent ceci qui est pire, c’est que toute chair est clairement œuvre du diable. Aussi ils n’y portent en aucun cas la bouche, pas même en cas d’extrême nécessité.

     

  6. Il y a 12 heures, Pharos a dit :

    Bonjour,

    je dois traduire ces phrases en français :

    Sane percipe, Stephane, hic conclusus in ista domo totum absentiae meae spatium maneas me non exigere. Quid si ruribus circumiectis et pomarii xystis utaris ? Si uultum tuum existimem, quies paula tibi non noceat. »

    Voici ce que j'ai fait :

    Perçois bien, Stéphane, que je n'exige pas que tu restes enfermé dans cette maison pendant toute la durée de mon absence. Que dirais-tu de profiter des campagnes environnantes et du verger de l'allée. A en juger par ton visage un peu de repos ne te ferait pas de mal. 

    Qu'en pensez vous ? Je pense que la troisième phrase est mauvaise (et la tournure en français n'est pas terrible)...

    Au contraire, cette troisième et dernière phrase est très bien traduite, de manière élégante ! C'est étrange que vous mettiez en doute cette traduction que vous dites avoir faite vous-même... Auriez- vous déjà été aidé?

    Par contre « verger de l’allée » est à exclure. A ce propos est-ce bien pomarii et non pomariiS que vous avez ?  Voici une autre proposition :

    Perçois pleinement, Stéphane, que je n’exige pas que tu restes confiné ici dans cette maison durant tout le temps de mon absence. Si plutôt tu profitais des campagnes environnantes et des promenades  plantées d’arbres fruitiers ? Si je considère ton visage, un peu de repos ne te nuirait pas.

  7. Il y a 6 heures, Mikoyan a dit :

    Tout d'abord, je ne comprends pas le « qui » de la première phrase d'introduction du traité : In vestra dioecesi frequenter contigit deprehendi quosdam hereticos, qui diebus istis plurinum notabiles sunt in erroribus suis. Si je m'en tiens au sens de la phrase ce nominatif devrait être un ablatif, quibus, par lesquels, mais ce n'est pas le cas.

    Il me semble que "qui" a bien sa place dans la phrase: Dans votre diocèse, il est arrivé fréquemment que  soient surpris des hérétiques qui en ces jours sont très reconnaissables à leurs erreurs.

  8. Bonjour, je proposerais ceci pour la fin de votre traduction:

    et in eo quod sua corpora nutriunt cibis mensae suae, corpus Domini se facere dicunt. Nec intactum praeteribo quod audivi a quodam viro fideli, qui agnita eorum perfidia et secretis quibusdam turpitudinibus, de societate eorum exivit.

    Et du fait qu'ils nourrissent leurs corps avec des aliments de leur propre table, ils disent qu'ils font le corps du Seigneur.Et je ne négligerai pas ce que j'ai entendu dire de la part d'un fidèle qui est sorti de leur société après avoir reconnu leur perfidie et certaines secrètes turpitudes.

     

  9. Il y a 2 heures, florence a dit :

    Bonjour,

    J'ai des difficultés à trouver la signification de ces 2 mots et de cette expression, ci-dessous. Auriez-vous la gentillesse de m'éclairer si vous le pouvez ? Merci !

    Regritorium

    Valicate

    Mobila movindum

     

    Florence

    Bonjour, je ne vois pas ces formes ( ou leur éventuelle origine) dans les dictionnaires latins que j'ai consultés. Voulez-vous nous dire vos sources?

  10. Il y a 22 heures, Apache a dit :

    Merci pour votre réponse rapide,

    Il s'agit de Gabriel Biel, un théologien universitaire du Saint-Empire romain germanique, mort en 1495. Le texte a quant à lui été imprimé en 1510 à Haguenau et se trouve actuellement à Londres, mais nous ignorons la date exacte de sa composition, ainsi que celle de sa traduction, à supposer qu'il y ait eu une élocution préalable en langue vulgaire. Compte tenu des différents épisodes de Peste survenus au XVe siècle, notamment à Tübingen en 1483, là où officiait justement Biel, je suppose qu'il l'a plutôt rédigé en fin de vie. C'est un incunable.

    J'ai déjà indiqué la phrase antérieure (traduite) dans mon précédent message, et il s'agit de la dernière, complète, de ce passage. Voici l'ensemble transcrit, et d'autres phrases encore (à noter que les diphtongues "ae" sont un ajout de ma part, leur absence dans le texte étant sans doute une spécificité de l'imprimeur).

    " Ante judicium interroga te ipsum, et in conspectu Dei inuenies propitiationem. Qui vero hic timere nolunt,  cum se securos estimant, iratum hunc judicem et intolerabilem sustinebunt. Dominus vero, qui non cessat nostrae saluti providere, frequenter nos de hac futura ratione reddenda salubriter terrendo admonet ; ut unde terret inde protegat,  modo a peccatis, et tunc a suppliciis. Quid ut efficacius atque congruentius memoriae nostrae commendet similitudine utitur dicens. Simile est regno caelorum et caetera. "

     

     

    Bonjour,  je vous avoue que je suis incapable de vous aider sur la phrase écrite en lettres grasses... désolé. Peut-être que Jacques  le pourra !

     

     

  11. Il y a 2 heures, Laurent42 a dit :

    Un grand merci pour votre aide,  Bill. Si je peux me le permettre,  que pensez-vous de "qui immotus perstat tempus labens non impedit" ? J'aimerais que la notion d'arrêter le temps soit présente. 

    Bonjour, la traduction que vous proposez est correcte: " (Celui) qui reste continuellement immobile n'entrave pas le temps qui glisse ( s'écoule). Bon samedi!

  12. Le 07/04/2021 à 20:18, jacques a dit :

    Bonsoir Bill,

    La question serait plutôt ici : a-t-on vraiment besoin de plus de mots ?

    Que proposeriez-vous ?

    Bonjour Jacques, Il me semble que la brièveté de la traduction risque de trahir la phrase d'origine. Mais chacun peut avoir son idée. J'ai proposé ma traduction plus haut (04/04/2021) en recourant à des termes utilisés par les auteurs latins pour  signifier " arrêter le temps qui passe " . Ma référence à P. Syrus n' avait d'autre intention que de mentionner cet auteur de maximes relativement longues. Cordialement.

  13. Il y a 10 heures, jacques a dit :

    En latin, il faut de la brièveté, surtout dans les maximes.

    Je propose :

    STATIO TEMPVS NON SVSPENDIT

    Bonjour Jacques, à la lecture de votre proposition de traduction, et pour ne m'en tenir qu'à l'obligation de brièveté que vous affirmez, trouvez- vous que les maximes de Publius Syrus soient brèves à ce point?

  14. Il y a 22 heures, Laurent42 a dit :

    Bonjour,

    Je recherche depuis des semaines (en vain), la traduction latine de la phrase suivante : rester immobile n'arrête pas le temps qui passe.

    Je suis arrivé à construire : stare inmotus non impedit transitu tempus.

    Pouvez-vous me dire si cette traduction est correcte ? Je ne suis sûr ni des mots, ni de leur ordre dans la phrase.

    Merci d'avance pour votre aide. 

    Bonjour, « stare immotus » est à mes yeux incorrect d’autant plus qu’en latin, l’infinitif sujet ne se rencontre pas dans de telles tournures. ( C’est possible uniquement en tant que sujet de « esse-être » ou de verbes impersonnels)

    « non impedit transitu tempus » est une tournure correcte, en effet la construction « impedire et acc et abl » se rencontre mais semble-t-il uniquement chez Tacite ( je n’ ai relevé qu’un seul emploi)

    Je vous propose ceci :

    Qui immotus permanet (ou perstat ) tempus fugiens ( ou labens) non vincit : Celui qui reste toujours immobile n’enchaîne pas le temps qui fuit (qui s’écoule)

     

     

  15. Il y a 8 heures, Julien. a dit :

    Bonjour, je souhaiterais avoir la traduction en latin de 2 phrases pour un projet tatouage. Les phrases sont "ne me jugez pas" et "ne me jugez jamais". J'ai essayé avec des traducteurs mais je n'ai pas trop confiance. Si une âme charitable pouvait bien m'aider. Merci. 

     

    Bonjour! Il y a plusieurs façons de traduire. Je vous propose les suivantes:

    1) Si "jugez" s'adresse à une seule personne ( dans le cas du vouvoiement): a) Noli de me iudicare. b) Ne de me iudicaveris. Les deux traductions signifient " ne me jugez pas"( forme polie/ vouvoiement)

    2) Si "jugez" s'adresse à plusieurs personnes: a) Nolite de me iudicare. b) Ne de me iudicaveritis. =  Ne me jugez pas ( forme du pluriel)

    3) Pour traduire NE me jugez JAMAIS: a) Remplacez "ne" par "numquam".:  De me numquam iudicaveris (iudicaveritis). b) Noli (nolite) de me umquam iudicare.

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    Bonjour à tous, 

     

    Puissent ces esclaves ne pas s'emparer de la statue du dieu !

    Voyez bien ce que vous a écrit Jacques à propos de l'expression du souhait: Subjonctif (présent)! Que devient "potiri" au subj. présent 3è pers.pl? A quelle fonction se trouve "du dieu"? Ce n'est pas un sujet ni un cod...

    Que pouvaient faire les femmes et les enfants de cette région ?

    A quelle déclinaison appartient "regio-regionIS"? Quelle est la fonction de " de cette région"? C'est la même que "du dieu" de la phrase précédente!

  16. Bonjour, l’ordre des mots en latin est libre mais pas indifférent… Mais avant toute chose, il faut analyser. Pour la 1ère phrase : « esclaves » est au pl et vous le mettez au sg. Quelle est la fonction de «  du dieu », quel est le cas qui lui correspond ? Vous n’avez pas traduit la négation « ne pas ». Vous avez raison d’utiliser «  utinam » et de le mettre en début de phrase, mais  le mode du souhait en latin est le subjonctif. Vous pouvez sans problème laisser le verbe ( à la bonne forme cette fois) à la fin de la phrase. Je vous mets le début de la trad. De la 1ère phrase : Utinam ne isti (ces) servi...

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