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dossier urgent à rendre sur l'âge d'or dans la mythologie.
Bill replied to ines-81's topic in Je suis au lycée
Bonjour, vous disposez de nombreux sites qui traitent de l'âge d'or. -
Confirmation d'une traduction français-latin : besoins de vos lumières
Bill replied to Cedric74's topic in Je suis étudiant
Vous connaissez déjà la réponse: "Numquam oblivisci" signifie " Ne jamais oublier"; "NE umquam obliviscar" signifie "POUR ne jamais oublier." -
Confirmation d'une traduction français-latin : besoins de vos lumières
Bill replied to Cedric74's topic in Je suis étudiant
Ne umquam obliviscar = pour que je n'oublie jamais = pour ne jamais oublier (qui je suis et d'où je viens). -
Confirmation d'une traduction français-latin : besoins de vos lumières
Bill replied to Cedric74's topic in Je suis étudiant
Bonjour. Numquam oblivisci quis sim undeque veniam. -
une citation (célèbre chez les mathématiciens) d'Henri Savile (1621)
Bill replied to achille's topic in Je suis étudiant
Je reviens à nouveau sur le forum après vérification, et je m'adresse prioritairement à mon aimable correspondant Bill (mais toute suggestion est, bien entendu, la bienvenue) Il s'avère en effet que le texte original disponible sur le web (avec ce lien j'espère :http://gutenberg.bei...3661.xml&dvs=),porte bien "vigilavit" et non "vigilavi". Il semble alors - si la leçon est bonne - que ce sont les anciens et les modernes, et non Savile lui-même, qui se sont efforcés - à en perdre le sommeil ? - d'effacer les taches... Comment traduire vigilavit ? Une tournure impersonnelle : "on a veillé - autant chez les anciens que chez les modernes - à éradiquer et effacer ces fautes" ? Qu'en pensez-vous ? cordialement Pour exprimer l'indéfini "on", le latin recourt très rarement à la 3è pers du sg et dans ce cas c'est avec un subjonctif, ce qui n'est pas le cas ici. Je ne parviens pas à ouvrir votre lien ( si vous pouviez y faire qqch? ). Pous avoir lu en diagonale quelques informations sur H. Savile, il semble qu'il aimait se vanter?! En fait "vigilaviT" doit en effet être la bonne leçon et a "industria- l'activité, l'assiduité" pour sujet. -
une citation (célèbre chez les mathématiciens) d'Henri Savile (1621)
Bill replied to achille's topic in Je suis étudiant
Bonjour voici un lien qui vous cite (note 91) le texte en latin et sur la même page (177) sa traduction en anglais. Cela vous aidera-t-il? Cordialement. Vous remarquerez: "vigilavi" et non " vigilaviT". https://books.google.fr/books?id=mKFxmk3LpagC&pg=PA177&lpg=PA177&dq=nec+quod+sciam+plures&source=bl&ots=hwLnf0y80-&sig=JTzCZlcH97KKCYvIZSjUfp6toxQ&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwislq6p8ajKAhXEvxQKHVNfDFYQ6AEIGzAC#v=onepage&q=nec quod sciam plures&f=false -
Bonjour, voici de quoi vous aider: "nec matres a viris quaerere desierunt": Où voyez-vous le mot " enfant"?.... quaerere a et abl= demander à quelqu'un; interroger quelqu'un. " Et les mères ne cessèrent de demander à leurs époux..." finis au sg= la fin, la limite. Au pluriel, fines-ium peut signifier “ le territoire” “ Est-ce sans fin (fine) que les Sénateurs enverront ces légions (legionEs) contre les troupes des rois( troupes royales) et désireront accroître les territoires(fines) de cet empire? Par ailleurs vous savez que la particule interrogative "num- est-ce que" entraîne une réponse négative. Cela signifie que les mères espèrent que les sénateurs arrêteront d'envoyer les légions et cesseront de désirer l'accroissement de l'empire. Un peu plus loin: "ils édifiaient des navires et ils les envoyés": Traduisez plutôt: ils construisaient des navires et les envoyaient..." bonne journée,
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En fait "Si nimium tollit vitam" peut vouloir dire " même si l'excès ôte la vie" mais peut aussi ne vouloir rien dire car " si" signifie majoritairement " si" et non " même si"; et nimium peut être aussi bien un nom ( l'excès), qu'un adverbe (trop) ou un adjectif qu'il faudrait accorder à un nom. Le lecteur qui ignore la phrase française de départ risque d'être perdu. Bref la proposition que vous mentionnez est correcte mais "obscure" selon moi. Ma proposition "sed nimium periculum.." n'a pas la prétention d'être la seule valable bien sûr; elle signifie: "mais un danger excessif ôte la vie".
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"Non vita sine periculo"= Il n'y a pas de vie sans danger" . Je suis sceptique quant à la seconde partie "si nimium tollit vitam" : j'aurais dit "sed nimium periculum tollit vitam" Pourquoi ne pas demander au traducteur"on" de vous expliquer ?
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"Loculus" peut désigner "un endroit où garder l'argent" et a alors comme synonyme "bursa" qui entre autres signifie "la bourse" (contenant sans doute les trente pièces d'argent, prix de la trahison de Judas), comme vu sur cette gravure.
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Omnis hora laetior periculosa. Chaque moment (heure)trop agréable est dangereux.(dangereuse) Omnis hora laetior vulnerat: Chaque moment (heure) trop agréable blesse.
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- -Salvatici,Salvaggi ( termes italiens): sElvatici, sElvaggi: sauvages, primitifs. -Tradidit aegyptis babylon aegyptus: le texte complet est: "Tradidit Aegyptis Babylon Aegyptus Achivis: Babylone a tout transmis ( enseigné) aux Egyptiens et l'Egypte aux Grecs. -Continuo auditae voces, vagitus et ingens: C'est un vers tiré de l'Enéide de Virgile: " Aussitôt on entend des voix et de puissants vagissements"
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Je crains ne pas pouvoir vous aider plus avant: il me semble que la photo que vous proposez est tirée d'un ensemble qui s'étire très en longueur si bien que les termes que nous lisons ici sont complètement isolés de ce qui précède ou suit directement. Où avez-vous pris cette photo? A Rome?
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Bonsoir, il est impossible de traduire le texte visible sur cette photo. C'est un "extrait" des "Res Gestae Divi Augusti- Les actions accomplies par le divin Auguste", premier empereur de Rome. Vous pouvez lire le texte complet ( il est quand même assez long) et la traduction ici: Res gestae Divi Augusti - Noctes gallicanaewww.noctes-gallicanae.fr/Rome/Res%20gestae/Res%20gestae.htm
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Un petit os est attaché à l’extrémité de l’os sacré, qui est appelé Coccyx par la ressemblance avec le bec de l’oiseau coucou ( ou tout simplement “ avec le bec du coucou” : les anciens avaient l’habitude de préciser de quoi ils parlaient, ainsi chez Ovide”Psitaccus ales: l’oiseau perroquet “ou chez César “flumen Arar- Le fleuve la Saône”...) ou encore par le son venant du bruit à savoir les craquements / les pets (1) qui sortent de là (qui inde exeunt) par tassement, ayant frotté contre cet os, et qui ressemblent au chant du coucou, ou enfin parce que un tel os est collé à l’os sacrum ce que ceux-là (2) disent ( dans leur langue) “kollasthai” dont provient “Kollax” , kallon (? un autre?) et , dérivé de ceux-ci (“derivaTum” et non “derivaRum” je pense), “Kollux” (1) Plaute utilise “ crepitus” dans ce sens très réaliste... (2) Je fais de “illi- ceux-là” un nominatif masculin pluriel sujet de “ dicunt”. “Ceux-là” pourrait désigner les médecins grecs auxquels notre texte ferait référence .”Kollasthai” en grec veut bien dire “se coller” . “ Kollax- le flatteur” (que je ne connais qu’ avec un seul lambda/L: kolax) provient selon moi suite à Androcide de “kollasthai “ via “ kolakeia- la flatterie” ( voir référence ci-dessous). “Kallon” me pose problème d’autant plus qu’il n’est pas accentué. Je n’ai pas de solution certaine. Quant à Kollux , je ne l’ai pas trouvé. A défaut on pourrait envisager une erreur de graphie et lire plutôt kokkux= le coccyx, koLLux ayant été amené par distraction de koLLasthai?... https://books.google.fr/books?id=z8w-AAAAcAAJ&pg=PA473&lpg=PA473&dq=kollasthai&source=bl&ots=FQ6ujFuV6K&sig=ycHT2wzQjyoRevHI2SyxhMck_Xg&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj92qjLiM7JAhWMWxQKHQkXDuMQ6AEIJDAD#v=onepage&q=kollasthai&f=false cordialement *
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Bonjour, à propos de "quod eadem supposita luxationis specie", je me rends compte que " eadem" peut signifier " de même" et " supposita= qui suit", on pourrait traduire alors " et que, de même, dans le cas de la variété suivante de luxation..." Qu'en pensez-vous?
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Bonsoir Coccyx, bonsoir Raoul, Cette thèse est loin d’être écrite en latin dit classique et il me semble qu’il faut parfois savoir en oublier, ignorer les règles syntaxiques bien souvent très (trop?) strictes d’autant plus que certaines grammaires insistent souvent sur la liberté avec laquelle les grands auteurs classiques eux-mêmes ne respectaient pas toujours ces règles. Il en va ainsi de l’emploi des modes : les uns utilisent l’indicatif, les autres le subjonctif sans qu’il y ait des différences de sens. Aussi, pour “cum iis tamen differentiis quod minus fortis sit...duret ( phrase 1°)... facillimum sit (phrase 2), je ferais de ces subj l’équivalent d’indicatifs, les “quod” étant des “quod complétifs” développant donc “ differentiis”. trad: 1°. ( cum iis tamen differentiis) quod minus fortis sit, & per minus tempus duret in luxatione externa, sensim ac sensim locum habente ligamentorum extensione. “ ... avec cependant ces différences à savoir que ( d’une part) la douleur est moins forte et dure moins longtemps dans le cas de la luxation externe, les ligaments étirés revenant peu à peu à leur place” trad: 2°. quod eadem supposita luxationis specie, facillimum sit coccygem in eo retinere situ quo tensa ligamenta relaxuntur : praeterea dolor a tali pendens ligamentorum extensione tanto cum furore nonnunquam saevit, quando vel minimis non coercetur remediis, ut inflammationem abscessusque brevi tempore producat. “ et que (d’autre part), dans le cas supposé du même (eadem!) type de luxation, il est très facile de maintenir le coccyx dans l’endroit où les ligaments tendus se relâchent: en outre la douleur dépendant d’une telle extension des ligaments fait parfois (nonnumquam) rage ( sévit) avec une telle (tanto)fureur , quand (puisque) elle n’est pas contenue par des remèdes même très petits, qu’elle ( la douleur) entraîne en peu de temps inflammation et abcès.” Mes traductions (sont-elles sensées?) demandent à être étudiées /confirmées par le médecin que vous êtes ... et d’autres traducteurs ! Je trouve ainsi étrange la tournure “ vel minimis” qui se trouve dans l’original: je m’attendais à “ vel maximis”: “puisque la douleur n’est pas contenue (apaisée) par des remèdes, même les plus grands...” Cordialement t
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Bonjour, Il y a des variantes pour traduire vos phrases puisque par exemple “ le coeur” en latin peut se dire indifféremment “ pectus, cor, animus...; “la famille “ peut se traduire par “ mei”- les miens”, “propinqui- les proches, les parents”, “proximi- les tout proches, les parents”, “familia - la famille” ( ce dernier mot ayant dans l’antiquité un sens plus large puisqu’il englobe les esclaves); “les yeux”= “ oculi, ou, plus poétique “ lumina”; “la vue, le regard se disent conpectus, aspectus ” . “ Loin de = procul, ou des termes tels que “remotus,amotus...- éloigné ; “la force = fortitudo, vigor, robur...” - “ loin des yeux, près du coeur”: Procul ab oculis ( ab luminibus), prope cor (pectus, animum) - “ Loin des yeux ma famille est dans mon coeur - amoti a conspectu proximi (propinqui, mei) in pectore (corde, animo) meo sunt”; “Amota a conspectu familia in animo (pectore, corde) est. “Remoti ab oculis (luminibus)... / Remota ab oculis... -” ma famille est une force- “ Proximi (propinqui, mei) fortitudo ( ou vigor, ou robur...) sunt. Ou encore “ familia fortitudo (vigor, robur) est. Faites votre choix, toutes ces traductions et autres variantes sont correctes . cordialement
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Voici une proposition: Tempus necessarium intermissioni consumere." Passer le temps nécessaire à s'arrêter." "intermissioni = , l'arrêt, le temps d'arrêt" . Cette forme peut être remplacée par " ad intermissionem": "Tempus necessarium ad intermissionem consumere" D'autres traductions peuvent vous être soumises. Patience donc!
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Ce texte est tiré d'un livre scolaire... assurez-vous déjà de l'avoir bien transcrit.... Diodori est bien un génItif, donc complément du nom. Ce qui précède l'extrait que vous citez doit vous aider à traduire! Vous avez bien commencé: " Alors Verrès envoya des esclaves". Où (auprès de qui) les a-t-il envoyés?
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Vous aider sera possible si vous nous donnez déjà votre propre traduction! bonne journée
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Bonjour, je vous avoue que je trouve votre raisonnement un peu confus...Ce que je peux vous affirmer est que "ils espèrent pour LUI" se dit en latin " sperant ei ( ou illi, isti, huic)...Bien à vous .
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Bonjour, comme sicerabibax vous l'a bien expliqué, "sibi" est le pronom réfléchi au datif, aussi bien au singulier qu'au pluriel et aux trois genres latins, masculin, féminin, neutre. Ce pronom renvoie au sujet de "speraNT" qui est un pluriel. En français vous aurez donc bien : "Ils espèrent que la république pourra leur être livrée." Si, dans le même contexte vous aviez eu "speraT" ( singulier), la traduction aurait été: "il espère que la république pourra LUI être livrée" cordialement
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A mon sens, cela ne relève pas plus de la poésie que de la prose. La langue latine fait plus souvent l'économie de "est" que le fait la langue française tant que le sens de la phrase latine est clair et net. cordialement
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Bonjour, c'est en effet un point incertain: j'ai vu l'interprétation DD= domino sur un site d'abréviations latines, et j'en ai conclu que le redoublement DD= domino était voulu pour éviter la confusion avec un simple D= dictus. Espérons que la solution certaine viendra d'autres intervenants... Abréviations latines - Forum Roubaix