
jacques
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On y arrivera !
Terra tufule, id est tubera, complectio frigida et humida in 2°. Electio magna juvamentum recipit omnes sapores. Nocumentum auget humorem melenconicum propter earum terrestrietatem. Remotio nocumenti cum pipere oleo et sale, quid generat flegma grossum quod tamen cito uritur. Convenit iuvenibus calidis, hyeme et calidis regionibus.
Je ne vois que melencolicum.
Par ailleurs, si vous voulez établir une transcription plus moderne, vous pouvez mettre plus de ponctuation, au moins deux points après chaque titulus.
Ex : Electio : magna.
Vous devez également écrire hieme et juvenibus (si vous utilisez la lettre v, il faut aussi utiliser le j, comme dans juvamentum).
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Il y a méprise : ce que vos dites est une pratique détestable à laquelle je ne me livre jamais.
J'ai par mégarde inclus ma réponse dans le message de quiotas en me trompant de bouton. Pour le reste, je ne vois pas où est le problème.
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quiotas, je vous avais répondu dans votre message.
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Cependant, c'est melencolicum qui est écrit dans le ms. de départ.
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Ce qui est souligné en rouge, ce sont les tituli à l'exception du dernier.
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Dans l'ordre et en conservant l'orthographe originale, on a :
complectio (= "complexion", c'est à dire "nature") – electio (= "choix" ; comprendre : "préférence") – iuuamentum (= "avantage")
nocumentum (= "inconvénient") – remotio nocumenti (= "remédiation à l'inconvénient" ou plus simplement "remède à l'inconvénient") – quid generat (= "quel (effet) (cet inconvénient) provoque) – convenit (= "convient") – hyeme (= "en hiver").
Les mots en gras sont presque tous des "têtes de chapitre" communes à de multiples descriptions de végértaux, c'est pourquoi il y a de nombreuses abréviations.
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@ Cloelia
Je ne suis que secondairement paléographe ; ma spécialité, c'est l'ancien français et les textes littéraires médiévaux. On en est assez éloigné...
Merci de votre message.
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Merci. Vous pouvez poster votre document.
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Bonjour et bienvenue,
Nous voudrions tout d'abord savoir à quoi est destiné ce travail.
Merci.
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La formule trouvée signifie "nous ordonnons la vengeance à celui qui est en colère"
Le sens n'est pas bon, et le mot "vindicta" n'est pas classique (mais c'est un problème mineur).
En reprenant le nom VLTIO à mes collègues, je vous propose :
VLTIONEM IRASCENDO IMPERAMVS
= "en étant en colère (quand nous sommes en colère), nous ordonnons la vengeance".
(L'ordre des mots peut être modifié)
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Soit homo curans (= l'homme soignant), soit homo medicus (= l'homme médecin).
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Non, c'est très bien comme cela.
J'ai placé le sujet dans la bonne rubrique (du français au latin).
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En ce cas, on peut dire aussi :
VIM ACCEPI A DEO
(= J'ai reçu (ma) force de Dieu)
Note : Personnellement, je maintiens vis pour traduire "force".
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Personnellement, je trouve la phrase trop longue pour une devise.
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Je propose :
MEA VIS IN DEO
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Je propose :
IMAGINEM NOSTRI RECTAM FACIT REDEMPTIO.
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Merci de votre réponse et de votre courtoisie.
Ma remarque était uniquement motivée par le fait que nous sommes sur un forum de latin : imaginerait-on mettre une traduction de Tolstoï à la place du texte original sur un forum de russe ? Pour moi, le latin vit essentiellement dans les textes anciens (je ne suis pas du tout "vita latina" !), utilisons-le donc et ne donnons pas l'impression que c'est une langue si difficile qu'il faut l'accompagner d'une traduction ou lui substituer une traduction, ce que pensent malheureusement beaucoup d'élèves et d'étudiants. La langue de la Vulgate n'est pas complexe ; bien sûr, le texte pose parfois des problèmes d'interprétation, mais ceux-ci sont d'un autre ordre.
Ne prenez pas mal mes propos : c'est ma position, vous êtes évidemment libre de la partager ou non, et encore heureux !
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Vous remarquerez qu'il n'y a pas "portes" dans le texte du manuscrit.
Remarquez aussi le titulus "filiis Chore" (= pour les fils de Coré et non des fils de Coré).
Blackstone, je m'étonne que vous n'ayez pas posté le texte latin !
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De toutes manières, cela ne pouvait pas être autre chose...
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Merci beaucoup de toutes ces précisions. Le manuscrit est rudement bien conservé.
L'abréviation pour "Jérusalem" est propre au scribe : il ne voulait pas couper le mot, trop long pour sa ligne, afin d'avoir le "hoc est" au début de la ligne suivante.
N'hésitez pas à demander de l'aide.
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Merci !
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Au Moyen Age, on "moralise" des textes non seulement sacrés, mais aussi païens. L'ouvrage le plus connu, rédigé en "français", est l'Ovide moralisé, dont le ou les auteurs sont anonymes. Celui-ci a le mérite de nous avoir livré un récit, titré Philomena, dont l'auteur est peut-être Chrétien de Troyes, et qui est l'adaptation de la légende de Philomèle, Procné et Térée qu'on trouve dans les Métamorphoses.
"Moralisé" signifie en théorie "récrit à des fins d'édification", mais cet objectif n'est pas toujours apparent, ce dont il n'y a guère à se plaindre, à mon avis.
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Bonjour Domino,
Le texte latin est : Psalmus iste loquitur de c(a)elesti I(h)er(usa)l(e)m, hoc est de ecclesia triu(m)pha(n)te, et hortatur nos ad amore(m) c(a)elestis Iherusalem.
Traduction : Ce psaume parle de la Jérusalem céleste, c'est à dire de l'Église triomphante, et nous exhorte à l'amour de la Jérusalem céleste.
texte médiéval
in Divers
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C'est parfait ! Après quid generat, on pourrait avoir un point d'interrogation, mais c'est un détail. Laissez comme cela.