jacques
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Sane doctas expressistis conjecturas, quarum mala fortuna neutra valet...
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Il faut lire aussi Saint Augustin, c'est difficile, mais absolument éblouissant.
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Il faut relire un chant de l'Énéide par jour.
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Ce n'est pas une obligation, il ne faut pas le faire pour moi, surtout.
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Le principe est simple : le meneur propose une définition en latin ou en français, les participants font des propositions et le vainqueur devient le nouveau meneur.
Attention :
- Il s'agit bien sûr d'un mot latin, si possible mentionné dans le Gaffiot.
- Sa nature est précisée.
- La définition peut ne correspondre qu'à un seul sens de ce mot.
- Elle peut être également plus générale et "englober" de ce fait plusieurs sens.
- Elle pourra éventuellement se présenter sous forme d'énigme.
- Les participants ne proposent qu'un mot à la fois ; ils peuvent aussi poser des questions au préalable.
- Nous verrons ultérieurement s'il convient de limiter le nombre des propositions que peut faire un même joueur.
- N'hésitez pas à faire toute suggestion utile.
Précision importante : il arrivera que plusieurs mots puissent correspondre à la définition proposée, surtout si cette dernière est générale ; il faut néanmoins trouver le mot précis auquel avait songé le meneur pour gagner. Ce dernier pourra apporter des précisions afin de guider les participants vers la bonne solution.
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I. - QVÆRENDVM NOMEN SUBSTANTIVVM.
Haec est verbi definitio :
OMNIA QVIBVS HOMINES A BESTIIS DIFFERVNT.
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Ainsi que la traduction que je proposais.
Ce n'est pas grave. Je vais proposer un jeu plus simple puisque Raoul semble intéressé.
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Vous n'aviez pas remarqué que je l'avais retiré ?
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Je ne pensais qu'il vous fallût tant de temps pour traduire ce malheureux texte !
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C'est normal, ce n'est pas parce que nous communiquons sur un forum que nous sommes des e-humains !
Pour ce qui est du manque d'activité du forum, c'est un peu général ; les langues anciennes, surtout le grec, sont aussi en baisse dans "études littéraires".
J'ai essayé de relancer l'activité de notre site, au moins entre nous, en créant un "jeu", hélas, celui-ci n'a eu aucun succès...
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...et une meilleure santé pour le site.
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Si je puis me permettre de vous donner un conseil, puisque le latin semble vous intéresser, c'est de continuer à acquérir les bases grammaticales et lexicales dans une grammaire ou une méthode, mais de vous mettre par ailleurs assez vite à la lecture du latin authentique en vous aidant au début d'une traduction. Si vous faites cette activité assidûment, vous aurez le plaisir de pouvoir lire un jour du latin directement dans le texte. Cette pratique s'appelle le "petit latin". Dans cette langue, mais surtout en grec, je considère que je n'ai pas eu d'autre méthode d'apprentissage...
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Attention, les temps en français sont trompeurs à cause de la concordance.
En latin, on considère l'action de la p. principale et celle de la p. infinitive.
Si les deux se déroulent en même temps, quelle que soit l'époque (passé, présent, avenir), on a l'infinitif présent dans la p. infinitive :
- Existimat Romulum bonum regem esse : il estime que Romulus est un bon roi.
-- Existimabat (existimavit) Romulum bonum regem esse : il estimait (estima) que Romulus était un bon roi
Si la seconde est antérieure à la première, on a l'infinitif parfait dans la p. inf :
-- Existimat Romulum bonum regem fuisse : il estime que Romulus fut (ou était) un bon roi.
- Existimavit Romulum bonum regem fuisse : il estima que Romulus avait été un bon roi.
Si la seconde est postérieure, on a l'infinitif futur dans la p. inf. :
- Existimat Romulum bonum regem futurum esse : il estime que Romulus sera un bon roi.
- Existimavit Romulum bonum regem futurum esse : il estima que Romulus serait un bon roi.
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Merci, mais cela ne me dis pas le niveau visé.
Blackstone, si tu veux faire des commentaires, vas-y, je suis à la "bourre" encore ce soir. Je te dirai honnêtement s'ils rejoignent les miens. Mais il faut connaître le niveau visé.
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Cette initiation appelle plusieurs commentaires que je n'ai pas le temps de développer aujourd'hui.
A quel niveau est-elle destinée ?
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Cela ne m'étonne absolument pas. Le latin ne l'intéresse nullement.
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Je ne pense pas que l'élève reviendra...
Il utilise une façon de faire que j'ai constatée bien souvent en classe quand ils travaillent per deux : l'un traduit le latin mot à mot (mais sans toujours comprendre la phrase), l'autre essaie de trouver un sens au charabia obtenu (genre écriture automatique, poésie en moins), en ne s'occupant plus que de la phrase française... C'est ce que l'élève cherchait à obtenir de nous.
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Je ne t'ai pas seulement dit qu'il y avait des erreurs, je t'ai dit comment tu peux corriger le début ; tu n'as peut-être pas vu mon message, tu n'as qu'à remonter au dernier "J" pour le voir . En aucun cas on te donnera ici une traduction que tu n'aurais qu'à recopier. On ne peut pas non plus corriger ta traduction pour elle-même, comme s'il s'agissait d'un devoir de français. Cela n'a aucun sens.
Tu dois arriver à te corriger toi-même avec nos conseils et notre aide si nécessaire (car la phrase n'est pas facile pour le niveau collège). C'est le seul moyen pour progresser.
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Oui, merci beaucoup !
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Tu n'as pas répondu à ma question. Tu n'écrirais pas de telles phrases en rédaction parce qu'elles ne signifient rien : c'est du "charabia".
Legatus de permutandis captivis Romam missus, dato jurejurando, ut, si impetrasset, ita demum
nonrediret, in senatu condicionem dissuasit rejectisque a se conjuge et liberis, Carthaginem regressus estLe messager est chargé(1) d'échanger les prisonniers romains(2) de la mission(3)
(1) Où vois-tu ce verbe ?
(2) Romam ne signifie pas romains et il n'est pas au même cas que captivis.
(3) Sens ? missus est le participe parfait de mitto.
Traduit correctement jusqu'à missus. Attention, la phrase n'est pas terminée. Il va falloir attendre avant d'avoir trouvé le verbe principal.
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Bien sûr qu'il y a des erreurs. Aurais-tu écrit ces phrases en rédaction ? Non, pourquoi ?
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N'hésitez pas ! C'est en lisant les auteurs, dès la classe de troisième pour le grec, que j'ai vraiment appris les langues anciennes.
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Oui, "Verrès envoya aussitôt des esclaves au parent de Diodore..."
Ce n'est pas du très bon latin, et c'est très loin de l'original.
Un conseil (amical) : lisez le de Signis dans une édition bilingue, vous apprendrez vraiment du latin.
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Par contre, un ancien aurait plutôt compris MALVM dans le sens de "mal moral". Si tu veux, tu peux écrire :
ANIMO VINCERE DOLOREM (vaincre la douleur par la volonté)
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Je propose :
VINCERE DOLOREM (vaincre la douleur)
REPVGNARE DOLORI (lutter contre la douleur)
Et cette devise :
ANIMO VINCERE MALVM (vaincre le mal par la volonté)
"Conquérir la douleur" amènerait à un contresens : "vouloir acquérir la douleur".
Jeu du mot à trouver
dans Divers
Posté(e)
Verbum quaerendum ejusdem originis est ac unum e definitione, non plurali numero.