jacques
-
Compteur de contenus
643 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Évènements
Messages posté(e)s par jacques
-
-
Très belle présentation du site, bravo à notre chef !
-
Bonsoir Kevin,
Je suis désolé, mais votre texte n'a aucun sens, vous devez bien en être conscient. Je ne sais comment vous aider, surtout si vous n'avez jamais fait de latin.
Le thème général du poème est le suivant : On ne doit pas considérer que Calvin est mort parce qu'il continue à vivre en nous par son enseignement.
A partir de cette indication, essayez de traduire les deux derniers vers. Attention :
- Le dernier mot est cavet, qui se construit avec ne. Rien à voir avec la couleur blanche.
- Il n'y a pas "afin que" dans le texte latin : ille qui facit ut = "celui qui fait que..."
Consultez le dictionnaire Gaffiot en ligne.
Cordialement.
-
Je propose : TRANSIRE TEMPORA (= traverser les temps).
-
Non, c'est erroné : pourquoi agnus ? Et mutant signifie "changent"
HIC LEONES AGNI FIVNT ou HIC LEONES FIVNT AGNI.
-
Oui, en effet. Le sens et la teneur de l'ensemble du texte, consacré à Charles, le confirme.
-
Mais à qui se rapporte gravissimus factus en ce cas ?
-
Il faudrait que, de mon côté, je lise l'ensemble de cet ouvrage de Boccace, mais je vais manquer de temps dans l'immédiat...
-
En fait, c'est moi qui rétablis ce nom d'après un "Phylippus" qui est cité avant le passage que vous avez posté. Autrement, je ne vois pas à quoi gravissimus factus peut se rapporter.
-
Merci. Alors, voici :
Alors, la Fortune forgeant des prétextes fallacieux, (comme Philippe [le Hardi]), était devenu insupportable aux Siciliens par la cupidité et la luxure des siens, il arriva, suite à l’honneur bafoué de l’épouse de Jean de Procis, un aristocrate d’une rouerie extrême, que celui-ci supporta si mal l’affaire qu’il tendit toutes les forces de sa volonté à nourrir un but commun. Courant ça et là pendant deux ans, sans se faire connaître, en dépensant autant d’effort que de sagacité, il fit partager la même opinion à tous les grands personnages de Sicile, à l’empereur de Constantinople, au roi Pierre d’Aragon et au pape Nicolas. Du fait de cette unanimité, une émeute s’étant produite un même jour à Palerme, l’île entière se dressa contre les Français jusqu’à vouloir les faire tous périr pour [venger] un seul homme.
Cordialement.
-
Je comprends mieux : vous aviez tronqué une phrase en la faisant commencer par "ut"...
Une dernière question : pourquoi avez-vous besoin de cette traduction ? Est-ce un exercice scolaire ?
-
Bonjour,
Pouvez-vous apporter quelques éléments sur le contexte du document, si c'est possible, et nous donner les phrases qui précèdent l'extrait que vous avez posté ?
Merci.
-
Je suis passé étourdiment du "vous" au "tu" dans les adresses au destinataire : je corrige.
-
Merci beaucoup. Voici ce que je propose. Seul le puerum tuum du début pose quelques difficultés :
Mais vous prendrez mieux connaissance de tout cela par votre élève, que je vous remettrai dans deux jours au plus tard. Je n’eusse pas écrit par son intermédiaire, ni à vous ni à d’autre à qui je fais d’amples réponses, si le jeune homme n’était pas digne que je vous le recommandasse. Il est en effet d’un naturel et d’une éducation, pour ce que je sais, plutôt prometteurs, et il est en outre originaire d’une nation en renom. Il entretient sa culture grâce à la libéralité de Georges Vauzelles, chevalier de Rhodes, le seul que m’aient conservé la malveillance et la perfidie des autres, et à qui je suis, bien volontiers et à bon droit, redevable de son très grand dévouement.
-
Bonjour monsieur,
Je souhaiterais avoir quelques précisions sur les rapports entre les personnages en question dans cette lettre : l'auteur, le destinataire, le "puer", etc...
Le texte n'est pas difficile, mais sans contexte, ce n'est malgré tout pas si aisé à traduire. Je suppose que vous n'avez pas trouvé cet extrait de lettre par hasard.
Merci.
-
Je ne cesse de dire à mes étudiants : n'écrivez pas ce qui n'a pas de sens !!!
Par contre, vous verrez pour les noms propres, en particulier ce Pomponius Vingtmille ; à la fin, il semblerait qu'il y ait deux personnes et non un prénom et un nom.
-
Traduction google ?
" Pour ce qui concerne ses mœurs, vous en avez une image fidèle dans ses poèmes : aucune animosité envers les honnêtes gens ou les savants, aucune malice, aucune vile moquerie ; tous ses poèmes révèlent une pensée droite, nourrie de vertu, un esprit énergique et pénétrant. Par ses talents artistiques, il s'était insinué dans l'intimité de tous les grands personnages de son temps, aussi nombreux qu'ils fussent, ainsi que les savants. Cher à Pomponius Vingtmille (?) et à François Juret, d'un savoir si prodigieux, il fut tenu et honoré au nombre de leurs amis.
Vous verrez, clarissime, la mémoire des temps anciens pour ainsi dire remise à jour dans des hommes grâce auxquels, dans ce sénat, fleurissent au plus haut point la foi, l'honorabilité, la constance et la science : les Brulart, les Bégat, etc... "
-
Il y a 13 heures, danalimani a dit :
J'ai réussi à traduire des petits passages de ce texte mais je ne sais même pas si c'est correcte (cela m’étonnerai mais j'ai passé l'après midi dessus avec un livre d'aide au latin pour les débutants)
Post longam noctem
Personae: Dorippa, Terentia
"Salve era," inquit Dorippa, ancilla Terentiae, e cubiculo egredienti. "Bene dormivisti?"
"Non bene," inquit Terentia, "dormivi, immo male dormivi."==
Après une longue nuit Personnages : Dorippa, Terentia
"Salut maîtresse", dit sa servante Dorippa à Terentia sortant du lit, "Tu as bien dormi ?"
"Non je n'ai pas bien dormi", dit Terentia, "J'ai plutôt mal dormi."Bien.
==
Tum Dorippa: "Non? Male narras, era."
"Oculos," inquit Terentia, "tota nocte non clausi."
"Cur non?" rogat ancilla.
Tum Terentia: "Quod etiam nescio quid faciam ut pugionem patris reperiam."
Dorippa adnuit. "Possumne," inquit Dorippa, "te adiuvare in pugione reperiendo?"
Respondit Terentia: "Nescio. Sed estne quod edam?"==
Alors Dorippa (dit) : "Non, mal ? Raconte, maîtresse."
L'impératif est normalement "narra". Je comprends plutôt : "Pas (bien) dormi ? Tu t'expliques mal, maîtresse".
"Je n'ai pas fermé les yeux de toute la nuit", dit Terentia.
"Pourquoi ? demande Dorippa.
Alors Terentia : "Parce que je ne sais même pas que faire pour retrouver le poignard de mon père."
Dorippa fait signe que oui. "Puis-je t'aider à retrouver le poignard ?" dit-elle."fit signe"
"fit signe"Terentia répond : "Je ne sais pas. Mais y a-t-il quelque chose à manger ?
"répondit".
En fait, vous vous sous-estimez. Essayez de traduire la suite.
-
Bonjour,
Est-ce un exercice demandé par un.e professeur.e ?
-
Bonjour Célyne,
1° C'est ici un forum consacré au latin.
2° Comment voulez-vous qu'on vous aide si vous ne donnez pas les références des textes que vous devez étudier ?
3° Il faut que vous soyez disposée à fournir un travail personnel à partir de nos indications ; en aucun cas, nous vous donnerons des réponses toutes faites.
S'agit-il bien d'une "dissertation" au sens français du terme ?
-
- ad multos annos = "pour de nombreuses années".
- "N'importe quel ordre" est excessif : mettez au moins le sujet en tête.
-
Je me permets de répondre à la place de Bill :
1- Quand vous aurez été utiles à votre patrie durant de nombreuses années, vous serez des gens de bien.
Cum profueritis patriae ad multos annos, boni viri eritis
ad n'est pas bon : c'est une autre préposition qu'il faut.
B. autrement.
2- Après qu'il eut disparu aux yeux de la foule, les Romains considérèrent Romulus comme un dieu
postquam ab oculis populi evanuit Romuus, Romanis deus habitus (j’ai changé à la voix passive).
Ordre des mots curieux jusqu'à la virgule.
Il manque quelque chose avant Romanis (construction du complément d'agent ?)
Vous pouvez exprimer toute la forme verbale.
-
En fait, il s'agit d'un complément de détermination, plus précisément de qualité, qui s'exprime en latin à l'ablatif seul ou au génitif. Si vous dites "complément de nom", vous n'avez par tout à fait tort, mais on utilise cette dénomination quand il y a un rapport de possession.
Le chien du voisin : "du voisin", complément du nom chien : génitif en latin.
Le chien de petite taille : "de petite taille", complément de détermination du nom chien : ablatif ou génitif.
Le chien aux oreilles pendantes : "aux oreilles pendantes", idem.
Vous remarquez que le complément de détermination se construit avec à ou de en français ; c'est au sens que vous devez donc réfléchir avant tout pour traduire.
Et ce n'est pas non plus un complément circonstanciel parce qu'il n'est pas déplaçable, et qu'il n'indique aucune circonstance (temps, lieu, manière, etc...).
Voilà, merci de votre assiduité : vous progresserez (en latin, mais aussi et surtout en français) si vous ne vous contentez pas de chercher des solutions toutes faites, qui vous évitent de réfléchir.
-
Non : dans le mot datif, il y a dare, "donner" ; dans la phrase "je donne un livre à Pierre, "à Pierre" se mettra" au datif en latin. Retenez-le, cela vous aidera. Voyez, je ne parle même pas de fonction.
Vous ne devez peut-être pas connaître le nom du complément en gras dans "uir maxima sapientia ingenioque" cité par Bill. Cela dit, pourquoi aviez-vous utilisé l'ablatif ?
-
Oui, tout est juste à présent.
Eh oui, la grammaire n'est pas si complexe : il suffit de comprendre le pourquoi et le comment des notions qu'on apprend.
Pour "à la silhouette...", avez-vous vu la remarque de Bill ? Ce n'est pas vraiment un complément circonstanciel. Vous pouvez mettre ce groupe à l'ablatif, mais aussi...
Ideo eius orae notae sunt aliqua
dans Je suis étudiant
Posté(e)
Bonjour,
- C'est ideo, et non *ide. Je corrige.
- ejus signifie "de celle-ci" : le mot renvoie à la région décrite.
- Suivant le contexte, orae signifie soit "régions", soit "limites", "confins", ou mêmes "rivages". Je laisse "régions", à vous de voir.
- Dans "quelque peu", quelque, adverbe reste invariable.
Donc "C'est pourquoi ses régions sont quelque peu connues".