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Tout ce qui a été posté par raoul
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Merci, Jacques, de cette prise de relais. Je n'étais pas très disponible, aujourd'hui.
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"Tantum" ici signifie "seulement" : "....excepté seulement ceux que nous avons tirés des livres du Nouveau Testament"... ("à la seule exception de ceux du nouveau testament auxquels......etc...")
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A peu près le même sens: culte, rites, offices, dévotions......
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...".Mais c'est à cause de la multitude de ceux qui venaient, pour qu'ils n'empêchent pas les ministres du temple et des synagogues de remplir leurs offices et leurs obligations (ce qui leur était imposé= ea quae sibi injuncta erant), qu'il s'en allait (vous avez confondu discedo et disco)dans les montagnes et autres lieux" A demain la suite
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Mais...le français ne correspond pas du tout (sauf quelques mots) au latin!...?
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"quod certificat"....le "quod" n'est pas causal mais relatif indéfini: " ... ce qui prouve qu'il a mangé...."
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Oui, je ne vois pas d'autre solution.
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Bon, c'est un peu tard, mais continuons: je pense à des "est" sous entendus: -1) le fait que tous les apôtres, rassemblés en un même lieu aient confirmé ceci constitue (est) la preuve de la passion, de la mort et même de la résurrection du Christ. -2) Christus Iesus (est) qui..........le Xt (est) celui qui est mort....(ou: "c'est le Christ qui est mort....)....., mais surtout qui est ressuscité.... -3) et de bis.......: et de ces deux réalités, on possède plusieurs (ou "de nombreux") témoignages
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cujus morte... : par la mort duquel nous avons été guéris A tout à l'heure pour la suite
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Attention! les "s" au moyen-âge ressemblaient à des "f". Ainsi, il faut lire "salutare" et non "falutare", "sine" et non "fine". Pour répondre à votre question, il n'est question dans ce passage que du mélange de l'eau et du vin dans le calice et du sens de ce rite: 1) rappel de l'eau et du sang s'écoulant du côté tranpercé du Christ en croix 2) l'eau représentant le peuple des croyants mêlée au vin représentant le sang du Christ; Ainsi le mélange indissociable de l'eau et du vin dans le calice représente l'union mystique du Christ et de son Eglise.
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Barssalona ne peut pas être au génitif; il est donc forcément apposition à "mater" et à heretica. Donc: "....qu'avait nourrie dès son enfance Barssalona, mère hérétique du témoin." Où est-il stipulé que Barssalona n'est pas hérétique? Pouvez-vous me donner ce passage?
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Si on veut respecter les terminaisons gravées, il faut à mon avis, faire de "hereditas" une apposition de quae, ce qui est grammaticalement possible et qui a tout son sens: "L. Cestius, ex parte quae, fratris hereditas, pervenit ad eum...) L.Cestius, sur la part qui lui est revenue (en tant qu') héritage de son frère..." Pour être plus précis, ce que je crois comprendre, c'est que Lucius n'a pas reçu une part de l'héritage fraternel, mais, en guise d'héritage, une part de la vente des habits "interdits de sépulcre"
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Avis sur la traduction d'un manuscrit royal : cannibalisme médical
raoul a répondu à un(e) sujet de Alienor dans Je suis étudiant
Vero: mais // Ipse: lui-même (ici, "il" est suffisant). paganus: paysan // debilitas: infirmité. Erat est à l'imparfait: il n'y a pas lieu de changer de temps. Bonne soirée -
1-Pour le Barrium, voyez l'article sur le "Ducange" (en ligne, donc gratuitement) 2- Vous traduisez: "illud quod superfuerat eis" par "il leur en était resté"...D'une part, ça ne colle pas bien grammaticalement, d'autre part, ça n'aurait pas beaucoup d'intérêt. Il me semble que le sens serait plutôt: ......Raymond donna au témoin une portion de panade en disant qu'elle vous faisait autant de bien que si St Pierre l'eût bénie puisque des "hommes bons" en avaient mangé et que cette portion (illud) était (erat sous entendu) ce qui leur était resté. Ce qui signifie bien la sympathie que Raymond a pour les "hommes bons", puisque leur simple contact avec cette soupe équivaut, pour lui, à une bénédiction de St Pierre 3- Raymond est resté avec les hérétiques, tandis que le témoin est sorti aussitôt...il est donc possible que Raymond ait "rendu hommage" aux hérétiques après le départ du témoin mais pas en sa présence (ipso teste vidente). Encore une fois, c'est ce que je traduis...mais je ne connais pas, moi non plus, la traduction en ligne (qui peut aussi comporter des erreurs)
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Oui, je viens de lire l'article de Ducange sur "Barrium". Il s'agit bien d'un quartier habité d'une cité ou d'un castrum, particulièrement en Espagne et dans le sud-ouest de la France (Toulouse.....). Les deux traductions proposées semblent possibles...le "i" de "pluries" me ferait préférer "à de nombreuses reprises" mais ce n'est qu'un avis.
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Il s'agit, en effet, des nombreuses interventions de ces "Barriens", à ce que je crois comprendre. "Quam pluries" porterait alors sur "interfuerunt", très en amont. ".....Et assistèrent (ou intervinrent) à ce "commentaire" le témoin lui-même, Ponce etc.......et à de très nombreuses reprises d'autres habitants...etc...
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même édition ... et parfaitement réveillée! "intromittebat": "introduisait" , "se": "lui-même" (dans) "quid dicebant": "ce qu'ils disaient" --> "ne s'introduisait pas dans leur discussion" (n'intervenait pas? ne s'intéressait pas? ne se mêlait pas?....c'est ce que je comprends, mais je serais ravi de connaître votre interprétation.
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Gaffiot...
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On dirait en effet "id quod" (relatif): "ce que"; mais ici, je verrais plutôt un interrogatif indirect :" Que disaient-ils? il ne s'en occupait pas" --> il ne s'occupait pas de ce qu'ils disaient "
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Je verrais assez bien ceci: "...il ne se mêlait pas de ce qu (=quid)'ils disaient car il était trop petit à cette époque, antérieure à l'arrivée des croisés.
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si c'est "temet", ce ne peut être que la 1°, en effet. Si c'est "temetum" (mal écrit), ce serait la seconde ( plus adaptée au contexte). "Para" signifie en effet "prépare"...où est le problème? Ah, si les demandeurs daignaient nous envoyer un jour une bribe de contexte!...oui, je sais, je peux le faire à leur place en tapant sur mon clavier...mais je suis vieux, de mauvaise humeur, et j'estime que ce n'est pas à moi à le faire.
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Je viens de feuilleter l'ouvrage sur internet: complet, progressif et intéressant pour un débutant volontaire (qui ira chercher l'information au bon endroit, ce que ne fera sans doute pas un élève peu motivé) Par contre, les exercices à trous devraient plaire et semblent efficaces. Je ne vois pas de corrigé: il doit faire l'objet d'un second ouvrage... Votre formule finale est bonne. Par contre "savete omnibus" signifierait "saluez à tous"...Cicéron aurait dit: "Scaevola omnibus S.D." (salutem dat) mais vous pouvez vous contenter de: "omnibus salutem!")
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C'est qu'il n'y a ni subjonctif, ni infinitif...mais seulement deux impératifs :"quaere..........para" . "haud usitatum" : "pas du tout usité" --> "tout à fait original". "temet": toi-(même) ou alors "temetum" (breuvage capiteux). Je pencherais pour la 2° solution.
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Puisque c'est le même texte que celui d'Alice, tu peux déjà utiliser les indications de Jacques, puis tu nous envoies ta traduction pour qu'on puisse la corriger. A bientôt, donc.
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Bonne soirée, Bill! et merci, Bal26