jacques
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- Tout d'abord, veuillez m'excuser : statua est correct, mais nous sommes bien d'accord que c'est un ablatif ; je croyais que vous l'aviez laissé au nominatif. - potior doit être tout simplement mis au présent du subjonctif (expression du souhait). - Quid est juste. - regio n'est pas l'ablatif de regio... - C'est mulieres - Le reste est juste.
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Bonjour monsieur, Je n'oublie pas votre texte, mais j'ai du mal avec le sens de "pulmentum, decima et saepes" (l. 16); privilèges particuliers ? Je n'ai jamais rencontré ces expressions ailleurs, sauf decima, bien sûr (dîme), mais pas dans cet environnement lexical. Je vous dirai en gros. Si Bill a une idée...
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Puissent ces esclaves ne pas s'emparer de la statue du dieu ! Utinam servus statua deus non potientur ! Ni statua ni deus ne sont au bon cas. potientur n'est pas au bon mode. Que pouvaient faire les femmes et les enfants de cette région ? Quam in regionem mulieres et infantes poterant ? quam ne signifie pas "que", mais quelle, à moins que vous n'ayez confondu avec une conjonction. Pourquoi regionem à l'accusatif ? Il manque "faire". Corrigez ces deux phrases.
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Bonsoir, efficere n'a pas le sens de "veiller".
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C'est quasiment la traduction littérale de votre phrase : TIBI = "à toi" "FILIO" = "(mon) fils" "LEONI MEO" = "mon lion" Votre phrase signifie "Mon fils, mon lion !" (avec une exclamation, comme dans le mot fameux de César). Rien n'y signifie "à toi" ; c'est pourquoi flius, meus et leo doivent être mis au datif.
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bene renforce multis ; " en présence de bien d'autres personnes, tant parents qu'amis".
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Je propose : TIBI FILIO LEONI MEO.
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Bonjour Vic, Je me suis permis de placer votre sujet dans la bonne rubrique. Je propose : NIHIL TIMENDVM EST PROBIS (=rien ne doit être redouté par les gens droits) Cela semble inélégant en français, mais cela passe mieux ainsi en latin, un peu à la manière d'une devise. Si c'en est une, vous pouvez même supprimer EST
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Ce texte n'est pas tout récent, mais il n'a rien perdu de sa pertinence. Je partage entièrement la position de son auteur. http://salon-litteraire.linternaute.com/fr/essai/content/1846712-de-l-inutilite-sinon-de-l-inconvenient-de-faire-du-latin-aujourd-hui-dans-le-secondaire
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Leodiensis S. Jacobi Monasterii Monachi Chronicon
jacques a répondu à un(e) sujet de Michel Disdero dans Je suis étudiant
Il faut essayer de comprendre à la lecture, et pour cela, relire plusieurs fois sans "construire" en vous basant sur la phrase française : vous verrez, on y arrive très aisément. C'est un exercice très profitable, et surtout il vous donnera l'impression que le latin est une langue comparable aux langues modernes, un peu plus difficile certes parce qu'on n'écrivait pas comme on parlait, mais intelligible sans qu'il faille se livrer à un jeu de piste. Très cordialement. -
Leodiensis S. Jacobi Monasterii Monachi Chronicon
jacques a répondu à un(e) sujet de Michel Disdero dans Je suis étudiant
Bonjour monsieur, Je ne comprends pas votre remarque : mirifice est bien à côté de composuit... -
Je vous ai répondu dans l'autre sujet.
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Ne vous souvenez-vous pas que vous avez posé la même question il y a quelques heures ?
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Je propose : SERVIRE NVNC ET SEMPER (= servir maintenant et toujours).
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Et qu'avez-vous répondu à propos des trois premiers mots soulignés ? Et vous n'avez pas répondu à ma dernière question.
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Beaucoup procèdent ainsi, hélas ! Entre l'entraînement à la lecture des textes authentiques dès le début de l'apprentissage, comme le veulent les programmes, et la méthode trop strictement analytique que l'on a connue autrefois, il y a des intermédaires que l'on ne sait pas chercher ou que l'on a peur de mettre en œuvre...
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Et voilà ! Mais en latin, il faudrait aussi une préposition : sine + ablatif.
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Aide à la traduction de sources latines
jacques a répondu à un(e) sujet de Sarah59 dans Je suis étudiant
Est-ce que vous avez regardé dans le Corpus des inscriptions latines (CIL) ? Celui-ci doit figurer dans votre BU. Je peux traduire en gros, mais il y a des points obscurs. Par exemple, la fin de la dernière inscription : (Monument) consacré aux dieux Mânes. Le pieux Titus Flavius Matutinus Tranquilianus, prêtre(1) du dieu Pluton, a vécu 81 ans. La pieuse Julia Frontilia, sa très chère et très fidèle [épouse], a vécu, [?] ans. [?] (1) antistes, et non antises. -
Mais c'est justement parce que vous n'êtes pas sûre qu'il faut venir ici !!! Autrement, on fait le travail à votre place et c'est de la fraude. Non sans ruse : NOMINATIF SINGULIER Non : est-ce que "la ruse" est sujet d'un verbe ??? Quelle question peut-on poser pour obtenir "non sans ruse" comme réponse ? les traits : ACCUSATIF PLURIEL B. la jeune femme : ACCUSATIF SINGULIER B. à Jupiter : DATIF SINGULIER C'est bien analysé, mais avec certains verbes latin, on peut avoir un autre cas. Toujours consulter le dictionnaire car la construction des verbes n'est parfois pas la même en latin et en français. Laissons cela pour le moment. à sa demande : ABLATIF SINGULIER Non, mais là encore, tout dépend du verbe latin que l'on choisira (le principe de votre exercice n'est pas très bon à cause de cela, je me permets de vous le dire). Dans la plupart des cas, à quoi correspond le COI ?
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Vous ne pouvez indiquer aucune fonction en français ?? Le principe, c'est que vous proposiez des réponses et que l'on vous aide à trouver si vous vous trompez. C'est la seule façon de progresser réellement.
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Au contraire, n'hésitez pas à revenir...
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Que l'on débouche sur une aporie n'est pas étonnant vu la diversité des sources. Notre but, à Bill comme à moi, n'était certainement pas de proposer des interprétations, mais de traduire les sources latines et grecques autant que nous le pouvions. D'autre part, si j'ai tenu à préciser l'antériorité du texte hébraïque, c'est parce que vous aviez écrit : "Comme la première bible hébraïque date du 12e ou 13e siècle, je souhaitas avoir l'avis de la Septante, qui semble a priori, la plus ancienne." Bon courage pour vos recherches et tous mes meilleurs vœux.
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Émile Osty, auteur d'une édition critique et commentée de la Bible, situe au XIIème siècle les textes hébraïques les plus anciens (Bible (Osty-Trinquet), édition du Seuil, p. 11). Je vais peut-être vous paraître désagréable, mais point n'est besoin d'être latiniste ou helléniste pour savoir que l'hébreu précède le grec dans la rédaction des textes de l'Ancien testament.